LaSACEM n’a pas vraiment apprĂ©ciĂ© la proposition faite au ministre de l’Économie d’exonĂ©rer les associations de droits d’auteur Ă  l'occasion d’une ou deux manifestations par an. La
COUPE DU MONDE DE FOOTBALL 2006 Les droits Ă  payer pour diffuser les matchs Redevance tĂ©lĂ©visuelle, droit Sacem, Ă©ventuellement abonnement aux chaĂźnes cryptĂ©es, vous n'aurez pas Ă  payer davantage cette annĂ©e pour diffuser les matchs de la Coupe du Monde de Football 2006. Pourquoi ne pas profiter des Ă©vĂ©nements sportifs pour animer votre Ă©tablissement en retransmettant les matchs de la Coupe du Monde de Foot 2006 ? Mais il est vrai qu'un certain nombre d'entre vous ont Ă©tĂ© Ă©chaudĂ©s lors de la prĂ©cĂ©dente Coupe du Monde de Foot en 2002 en raison des droits de diffusion Ă  payer. Mais il semblerait que cette annĂ©e, on ne vous demandera pas de droit supplĂ©mentaire pour la diffusion des matchs, en dehors, bien sĂ»r, de la redevance TV, des droits Sacem et des Ă©ventuels abonnements pour les chaĂźnes payantes. En effet, fini le temps oĂč TF1 bĂ©nĂ©ficiait de l'exclusivitĂ© des droits de diffusion pour l'intĂ©gralitĂ© des rencontres de la Coupe du Monde de Football comme celle qui s'est dĂ©roulĂ©e en 2002. Droit que cette chaĂźne avait concĂ©dĂ© Ă  une sociĂ©tĂ© privĂ©e, MVM Marketing VidĂ©o PrivĂ©, afin qu'elle rĂ©cupĂšre les droits pour la diffusion des matchs dans les lieux publics comme les CHR. Mais cette sociĂ©tĂ© MVM a Ă©tĂ© mise en liquidation judiciaire en fĂ©vrier 2006. Les trois dates Ă  retenirMardi 13 juin Ă  18 heures France-Suisse Dimanche 18 juin Ă  21 heures France-CorĂ©e Vendredi 23 juin Ă  21 heures France-Togo Quelle chaĂźne diffuse les matchs Cette annĂ©e, 56 matchs de la compĂ©tition seront retransmis en gratuit et en clair sur TF1 qui proposera 24 matchs en direct, dont ceux de l'Ă©quipe de France et la finale, et M6 qui proposera 31 matchs, tous en direct. Les chaĂźnes payantes sont aussi de la partie Canal +, et Canal + Sport vous proposent 64 matchs dont 38 en direct, et Eurosport diffusera aussi les 64 matchs dont 23 en direct. Retrouvez le calendrier des matchs avec la date et l'heure de diffusion selon les chaĂźnes sur Montant de la redevance tĂ©lĂ©vision DĂšs lors que vous ĂȘtes en possession d'un poste de tĂ©lĂ©vision, vous ĂȘtes redevable d'une redevance. Le rĂ©gime de la redevance audiovisuelle a Ă©tĂ© profondĂ©ment rĂ©formĂ© en 2005. Ainsi, depuis l'an dernier, les entreprises doivent, en rĂšgle gĂ©nĂ©rale, dĂ©clarer et payer leur redevance audiovisuelle en avril, en annexe Ă  la dĂ©claration de TVA dĂ©posĂ©e au titre du mois de mars ou du 1er trimestre de l'annĂ©e. On rappellera que la date limite de dĂ©pĂŽt des dĂ©clarations TVA Ă©tait situĂ©e entre le 15 et le 24 avril selon les entreprises. Cette obligation concerne tous les Ă©tablissements qui dĂ©tenaient des appareils de tĂ©lĂ©vision dans leur Ă©tablissement au 1er janvier 2006. Si vous achetez un poste de tĂ©lĂ©vision en prĂ©vision des Ă©vĂ©nements sportifs de cet Ă©tĂ©, vous devrez donc dĂ©clarer et payer la redevance l'annĂ©e prochaine. Les tarifs applicables n'ont pas Ă©tĂ© modifiĂ©s la redevance est de 116 E par poste, et il n'est plus fait de distinction entre les postes couleur et noir et blanc. Par contre, il a Ă©tĂ© instaurĂ© une redevance spĂ©cifique dans les dĂ©partements d'outre-mer celle-ci est fixĂ©e Ă  74,31 E par poste. Attention ! Selon la catĂ©gorie de votre Ă©tablissement, la redevance ne se calcule pas de la mĂȘme façon. Restaurants Ne sont concernĂ©s dans cette catĂ©gorie que les Ă©tablissements ayant une licence restaurant pour le service des boissons, ainsi que les crĂȘperies ou snacks qui n'ont qu'une licence de dĂ©bits de boissons de 1re catĂ©gorie. Le montant de la redevance est fixĂ© Ă  116 E par poste de tĂ©lĂ©vision. DĂ©bits de boissons Sont concernĂ©s dans cette catĂ©gorie tous les Ă©tablissements titulaires d'une licence de 2e, 3e ou 4e catĂ©gorie de dĂ©bits de boissons. La redevance est fixĂ©e Ă  464 E par poste de tĂ©lĂ©vision soit 4 fois le montant de la taxe de base pour la France mĂ©tropolitaine et Ă  296 E pour les Dom. Ce qui veut dire qu'un dĂ©bit de boissons qui a 3 postes de tĂ©lĂ©vision dans son Ă©tablissement devra payer une redevance totale de 3 x 464, soit 1 398 E. En cas d'Ă©tablissement mixte, par exemple, un hĂŽtel-bar-restaurant, seuls les tĂ©lĂ©viseurs installĂ©s au bar c'est-Ă -dire l'endroit oĂč sont servies Ă  titre habituel les boissons alcoolisĂ©es sont imposables Ă  ce montant spĂ©cifique. HĂŽtels Pour les appareils placĂ©s dans les chambres, le montant de la redevance va varier selon le nombre de postes que vous dĂ©tenez. Cette redevance est fixĂ©e selon les modalitĂ©s suivantes ‱ Pour les 2 premiers postes taux plein, soit 116 E par poste ; ‱ Du 3e au 30e poste 30 % d'abattement, soit 81,20 E par poste ; ‱ À partir du 31e poste 35 % d'abattement, soit 74,50 E par poste. HĂŽtels saisonniers Les hĂŽtels saisonniers, dont la pĂ©riode d'activitĂ© annuelle n'est pas supĂ©rieure Ă  9 mois, bĂ©nĂ©ficient d'un abattement supplĂ©mentaire de 25 % sur le montant de la redevance qu'ils doivent payer. Cet abattement supplĂ©mentaire s'applique sur le montant total de la redevance due, aprĂšs la prise en compte des abattements applicables, quand l'hĂŽtelier dĂ©tient plusieurs postes de tĂ©lĂ©vision. L'hĂŽtelier doit apporter la preuve du caractĂšre saisonnier de son Ă©tablissement, en joignant une photocopie de l'arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral de classement, sa dĂ©claration de taxe professionnelle, un extrait du registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s prĂ©cisant l'activitĂ© saisonniĂšre. RĂšgles particuliĂšres pour la location de postes de tĂ©lĂ©vision Si vous dĂ©cidez de louer des tĂ©lĂ©viseurs pour la pĂ©riode de ces Ă©vĂ©nements sportifs, vous n'ĂȘtes pas dispensĂ© de la redevance. Vous allez payer cette redevance au commerçant qui vous loue les postes de tĂ©lĂ©vision. Sans oublier les droits Sacem Pour les exploitants qui mettent des postes de tĂ©lĂ©vision Ă  la disposition de leur clientĂšle uniquement pendant la pĂ©riode de ces Ă©vĂ©nements sportifs, et qui, par consĂ©quent, ne sont pas titulaires d'un contrat annuel pour la diffusion des oeuvres musicales de son rĂ©pertoire et de ceux des sociĂ©tĂ©s qu'elle reprĂ©sente, la Sacem propose une autorisation forfaitaire et libĂ©ratoire de 132,45 E incluant la Sacem et la SPRE. Ce forfait est valable de la fin mai Ă  la mi-aoĂ»t 2006, le temps des Ă©vĂ©nements sportifs qui comprennent notamment Roland Garros, le Coupe de Monde 2006, le Tour de France. Sachez qu'en 2004, 7 000 Ă©tablissements avaient bĂ©nĂ©ficiĂ© de cette offre forfaitaire. Par la suite, une grande majoritĂ© de ces Ă©tablissements ont conservĂ© les postes de tĂ©lĂ©vision pour animer leur Ă©tablissement et ont donc demandĂ© Ă  transformer leur contrat en contrat annuel. Pascale Carbillet zzz66h Article prĂ©cĂ©dent - Article suivant Vos questions et vos remarques Rejoignez le Forum des Blogs des Experts Rechercher un article L'HĂŽtellerie Restauration n° 2979 Hebdo 1er juin 2006 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE

DVD clĂ©s USB et t-shirts Ubuntu-fr disponibles sur la boutique En Vente Libre. Si vous avez des soucis pour rester connectĂ©, dĂ©connectez-vous puis reconnectez-vous depuis ce lien en cochant la case Me connecter automatiquement lors de mes prochaines visites. À propos de l'Ă©quipe du forum.

Si ce truc s'avĂšre vrai, ça va faire plaisir Ă  beaucoup de monde ... Alors voilĂ , il y a un bon moment, alors que je rĂ©flechissais Ă  monter un petit label pour mes trucs persos et que je cherchais des infos, quelqu'un j'ai oubliĂ© qui, en fait m'a donnĂ© un truc que je vous soumet pour confirmation en gros, pour ne pas payer de SDRM sur un pressage, il suffit de ne pas dĂ©poser ses morceaux Ă  la SACEM tout de suite, de faire la demande de duplication Ă  la SDRM et de faire son pressage dan la foulĂ©e, PUIS de dĂ©poser ses morceaux pour pouvoir tout de mĂȘme toucher des droits sur les ventes Ă©videmment ça ne marche pas pour un repressage. Quelqu'un a-t'il dĂ©jĂ  appliquĂ© ce truc ?- DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]Afficher le premier post Suivre par email 12AnonymeHors sujet Pas de blĂšm Gowy, Zappa te protĂšge [ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]Greggery PeccaryAFicionadoHors sujet bof ......laisse frank oĂč il est, sa famille a dĂ©jĂ  du mal a l'protĂ©ger lui mĂȘmeArtiste endorsĂ© Vigier, Benoit-de-Bretagne, Guitar Pro, Two-Notes Disponible iTunes, Deezer, Spotify[ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]AnonymeJe pense Ă  un truc, si on fait un cd avec un mix de morceaux dĂ©clarĂ© et pas dĂ©clarĂ©, on est de la baise ? [ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]Greggery PeccaryAFicionadoOuais tu paie de la sdrm sur les morceaux dĂ©posĂ©Artiste endorsĂ© Vigier, Benoit-de-Bretagne, Guitar Pro, Two-Notes Disponible iTunes, Deezer, Spotify[ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]AnonymeOki, pour un coup je ne perd pas mon temps sur l'af Gowy> tes autoprods, tu les finances comment ?[ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]Greggery PeccaryAFicionadoConcerts, je mets de l'argent de cĂŽtĂ©, et j'enregistre ds groupes, c une asso qui paie l'autoprodArtiste endorsĂ© Vigier, Benoit-de-Bretagne, Guitar Pro, Two-Notes Disponible iTunes, Deezer, Spotify[ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]DanyAFicionadoCitation Enfin, c'est Ă  dire que j'ai cru comprendre qu'Ă©tant sociĂ©taire sacem il fallait dĂ©poser obligatoirement ses compos sinon on se met hors la loi. rien ne t'empĂšche de faire une autoprod sous un pseudo non rĂ©fĂ©rencĂ© Ă  la sacem...ils n'y verront que du feu[ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ] < Liste des sujets Suivre par email Charte 12 Liste des modĂ©rateurs VousbĂ©nĂ©ficierez ainsi des 20% de remise accordĂ©s Ă  toute personne dĂ©clarant ses diffusions au prĂ©alable. Cette remise sera reconduite chaque annĂ©e une De plus en plus d’hĂ©bergeurs saisonniers ont la mauvaise surprise de recevoir un courrier de la Sacem leur rĂ©clamant un Ă©cot de 223 euros par an. La dĂ©marche agace les propriĂ©taires qui en contestent la lĂ©galitĂ©. ExplicationsFranck, propriĂ©taire d'un gĂźte dans le Tarn, prĂ©sente les courriers de la Sacem lui rĂ©clamant 223 euros par an pour le tĂ©lĂ©viseur qu'il met Ă  disposition de ses locataires question agite de plus en plus les rĂ©seaux sociaux et forums de locations saisonniĂšres J’ai reçu une lettre de la Sacem me demandant de rĂ©gler des droits d’auteur parce que je fais de la location saisonniĂšre, c’est une arnaque ? » poste un internaute, joignant une photo du courrier Ă  l’entĂȘte de la SociĂ©tĂ© des auteurs, compositeurs et Ă©diteurs de musique. La rĂ©ponse est non. Cette dĂ©marche est tout Ă  fait la rubrique Immobilier
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Yparaßt que si tu fais pas signer des papiers sacem prouvant que ton titre àa été diffusé , tu touches que dalle et les radios ne signalent pas la diffusuion de tes oeuvres. si il y a des personnes qui rencontre ce problÚme et savent comment ne pas se faire avoir pour réellemtent toucher ses droits , à vous la parole.
Faisons pleurer dans les chaumiĂšres AccoudĂ© au bar, StĂ©phane pleure en me disant, c’est la derniĂšre fois que j’organise un concert. Pourquoi ? lui dis-je. Voyons il faut payer les artistes un minimum dĂ©cemment, 80€ chacun ; il sont 3 total 240€. Quand je fais jouer des groupes, la SACEM me demande 160€/mois de cotisation. Rien que pour diffuser de la musique je te raconte pas combien je paie dĂ©jĂ , et le tarif serait multipliĂ© par 2 si des gens dansaient dans la salle. Total 400€ pour un concert par mois. Le double, plus redressement Ă  la clĂ©, si une seule et unique personne se mettait Ă  danser dans une salle de 80 places. J’en peux plus. Pourquoi ne pas en faire plus ? Nous avons certes une capacitĂ© de 80 personnes, certes les gens consomment plus, mais on fait le service aux tables, dans une petite salle, le service au bar est impossible, on doit doubler le personnel, et les clients doublent malgrĂ© tout leur temps d’attente pour avoir leur commande. L’un dans l’autre, on s’y retrouve pas. On travaille plus, et l’on gagne moins, mĂȘme en terme d’image. C’est un casse tĂȘte, j’arrĂȘte de faire des concerts. Flashback sur une mailing-list destinĂ©e aux dĂ©bats sur les enjeux numĂ©riques et le libre Quand je lis cette mailing-list, les problĂšmes de la musique vus par les excellents analystes du monde du libre se concentrent systĂ©matiquement sur la loi et les droits d’auteurs ; les mesures de protections techniques ; les taxes cachĂ©es appelĂ©es redevances par nos gouvernements successifs ; la notion de libertĂ© comme celle du logiciel libre appliquĂ©e Ă  l’art qui se termine par l’Art c’est sacrĂ© donc la libertĂ© se rĂ©sume Ă  dire qu’il est suffisant de faire en culture l’équivalent du freeware en informatique, donc que la musique libre ne peut ĂȘtre libre comme le logiciel. Mais jamais, au grand jamais, il n’est question de la musique, et de la vie de la musique. Pas plus dans les mailing list, que dans les confĂ©rences, etc ... On passe pour un alien quand on prĂ©tend qu’il ne peut y avoir de musique libre ou non si la musique n’est pas vivante, si elle ne se voit pas, ne s’entend pas, ne se cultive pas, que l’on ne peut pas l’étudier, aller Ă  des concerts, la jouer ... Et que peut ĂȘtre mĂȘme la musique importe plus que de savoir si elle est libre. Y aurait-il un fossĂ© infranchissable entre nos penseurs du libre, et le monde rĂ©el ? Et si on montrait qu’il est possible Ă  tout le monde de s’en sortir en faisant de la musique libre moyennant quelques contraintes ? Rejouons la scĂšne Ă  l’endroit. Commençons par nous demander d’oĂč sortent les chiffres d’ici. En fait, le tenancier c’est trompĂ©, 160€ ce n’est pas un forfait mensuel, c’est le coĂ»t par Ă©vĂšnement. La SACEM est encore plus chĂšre qu’il ne le pense. Le tenancier en question diffusant de la musique, il paie dĂ©jĂ  une taxe de 5% sur ses bĂ©nefs. En ayant deux Ă©crans, il paie des droits en plus. S’il diffusait des DVD de concerts, alors il paierait encore en plus ... Il paie aussi la location d’un Ă©quipement informatique rempli de fichiers musicaux sous format numĂ©rique pour lesquels la taxe SACEM Ă  l’achat du support a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© appliquĂ©e. Je ne connais pas le montant exact, mais doublez au moins le coĂ»t par rapport Ă  l’achat des CDs chez un distributeur. Il a un minimum d’une centaine de CD stockĂ©s ... Faites les maths 4000€ d’investissement minimum. À votre avis combien reprĂ©sente le montant de ces taxes [2] cumulĂ©es, et quelle est la probabilitĂ© qu’un des groupes qui vient jouer dans l’établissement touche des sous de la SACEM et ne fasse autre chose qu’engraisser Johnny Halliday ? Solution 1 le tenancier est un geek, il sait comment s’en sortir le mode yakafokon Monsieur ThĂ©nardier est un pro du droit de la propriĂ©tĂ© intellectuel et des sociĂ©tĂ©s de redistributions il est avocat en plus de savoir gĂ©rer ses stocks, son personnel, sa compta et ses clients ; il connaĂźt les arcanes de la musique libre. MĂȘme choses pour les groupes qu’il embauche comme les Causette’n roll. Bref, ThĂ©nardier et les Causette n’existent pas sauf dans l’imaginaire malade des listes de diffusions du libre. VoilĂ  la façon dont ils imagineraient que tout le monde va se comporter. ThĂ©nardier, qui dispose d’un temps infini puisqu’il ne dort pas, sait que la SACEM ne peut demander de redevance que pour ses sociĂ©taires. Causette, mĂȘme inscrit Ă  la SACEM sait qu’il peut tout Ă  fait crĂ©er un deuxiĂšme groupe les Causettes libres, non inscrit Ă  la SACEM jouant des oeuvres libres, par exemple du domaine public musique traditionnelle, classique ..., ou sous licences vraiment libres donc autorisant une utilisation commerciale Ă  tous. Maintenant le concert peut avoir lieu en toute lĂ©galitĂ©, ThĂ©nardier peut faire jouer Les Causettes libres et fait 100€ de bĂ©nefs tout en versant 20% de mieux aux artistes soit 100€ par tĂȘte de pipe. Pour la SACEM ? Rien, que dalle, et c’est lĂ©gal. Sur sa lancĂ©e, ThĂ©nardier arrĂȘte son abonnement SACEM pour la diffusion de musique gain 5% de ses bĂ©nefs, et se clone pour trouver dans la jungle des morceaux de musique libres les morceaux libres qui sont vraiment libres donc il passe un temps infini Ă  trouver la licence de chaque morceau et s’assurer qu’elle est la bonne ; que la musique est correcte. RĂ©sultat 6 mois plus tard, ThĂ©nardier est en cure de dĂ©sintox pour abus de cocaĂŻne et surmenage. Les Causettes’n roll ont montĂ© un cabinet d’avocat, une association d’évangĂ©lisation et vivent de raconter leur histoire dans les magazines. Ils n’ont plus le temps de jouer de la musique. Pourrait-on faire autrement ? Eu Ă©gard au coĂ»t trop Ă©levĂ© des sociĂ©tĂ©s de perception des droits d’auteur, il y a Ă©videmment des alternatives possibles. La jungle du droit de reversement est telle qu’il existe un marchĂ© tant pour satisfaire les zikos que les ThĂ©nardier de tous poils. Quelques idĂ©es pas compliquĂ©es Solution 2 En mode startup aux dents longues Nom de l’entreprise The Exploitored Business model Simple non inspirĂ© de la science fiction Louer Ă  redevance mensuelle fixe en fonction du nombre de PC installĂ©s de la diffusion de musique sans emmerdes. Chaque PC contient des playlists de musique libre de droit. Pour donner de la valeur ajoutĂ©e, The Exploitored paie un DJ pour faire les playlists avec des groupes phares dans des styles phares. PC mis Ă  jour automatiquement par internet. ThĂ©nardier ne paie plus un cumul de taxe obscur et variable, mais un coĂ»t fixe mensuel, les musiciens eux se voient rĂ©munĂ©rĂ©s en fonction de leur prĂ©sence dans les playlists. En plus, une plate-forme web permet la mise en relations des groupes dĂ©sireux de jouer de la musique libre et tenanciers dĂ©sireux de faire des concerts. La sociĂ©tĂ© prĂ©lĂšve 5€ par mois par tenancier pour la mise en contact illimitĂ©e, 50€ par mois par PC, 300 pour l’achat du PC. Pour les auditeurs Écouter des morceaux de trad’, ou des reprises de classique ça craint ? La reprise de la Toccata en RĂ© mineur, ou de la danse du sabre par Toys Dolls punk ne craint pas, pas plus que my way par Pearl Jam, pas plus que la habanera par Dwezzil Zappa, pas plus que la Carmen de Bizet par Fishbone. on peut tout Ă  fait faire des reprises dans son propre genre. Rien n’empĂȘche les groupes de mettre quelques compositions sous licence vraiment libres. Les artistes sont sensĂ©s ĂȘtre imaginatifs et crĂ©atifs Ă  tous les points de vue. Pour les groupes Les groupes choisissant toujours les mĂȘmes noms pour distinguer les activitĂ©s libres [3] [4] et non libres sont facilement reconnaissables dans les bacs de la FNAC. Ils gagnent dans les deux mondes. En jouant les gentils, et en profitant malgrĂ© tout des mĂ©chants qui les engraissent. Pas de petit profit mĂȘme avec de grands sentiments. Au passage, les reprises sont un bon exercice de style pour des groupes. Pour les ThĂ©nardier Moins d’emmerdes, moins de pĂ©pettes Ă  dĂ©penser. Plus de bĂ©nefs, avec en plus l’image d’ĂȘtre des pionniers. Une bonne image, ça n’a pas de prix, mĂȘme quand c’est juste pour dĂ©penser moins. Pour les concerts Le jeudi les ThĂ©nardier veulent faire un concert, des groupes s’inscrivent, ils s’arrangent entre eux en respectant les conditions lĂ©gales. Pour la musique Les reprises de morceaux anciens rendront le patrimoine vivant. HonnĂȘtement, Ă©coutez le Bagad de Lann BihouĂ© si vous croyez que la musique traditionnelle ne contient rien de bon. Puis permettre Ă  la musique d’ĂȘtre jouĂ©e sans emmerde, c’est lui permettre de rester en vie un peu. Pour les exploitored De la maille, de l’oseille, du blĂ©, du gras, du beurre dans les Ă©pinards et pas trop de taf sauf Ă  mettre le truc en branle. Avec une vingtaine de stagiaires pendant 6 mois qui font du web c’est pliĂ© en deux temps trois mouvements pour mĂȘme pas 10 SMICs. Merci les stagiaires ! En plus ils auront un super CV aprĂšs ça. Il y a d’exploitation nulle part, c’est lĂ©gal c’est le business. Solution 3 World Domination Science Fiction je suis un gros Fournisseur d’accĂšs Internet FAI non affiliĂ© Ă  une sociĂ©tĂ© de contenu propriĂ©taire Je suis un FAI qui s’appelle Libre maison mĂšre Mandatorad. Chaque abonnĂ© peut cocher une case “musique libre” sur sa page de configuration de son compte aprĂšs acceptation des CGUs. Les groupes et le FAI ont le mĂȘme accord que prĂ©cĂ©demment. Je garde les mĂȘmes principes que prĂ©cĂ©demment, mais j’offre en bonus la mise en relation pour les concerts gracieusement pour les pros mon mĂ©tier consiste Ă  attirer le maximum d’abonnĂ©s en utilisant des technologies que je connais, non Ă  me crĂ©er du boulot que je ne sais pas faire. Tarifications 2 cents d’euro par Ă©coute d’un morceau entier, 50% pour le FAI, 50% pour le groupe. 4 cents pour le tĂ©lĂ©chargement. GrĂące Ă  mon infrastructure web et mes authentifications automagiques des Ă©quipements, les utilisateurs accĂšdent Ă  la musique de façon transparente, et sont facturĂ©s mensuellement au morceau de maniĂšre dĂ©taillĂ©e sans se poser de question. Chaque morceau est accessible par un bĂȘte lien web Ă  la radioblog tant pour l’écoute radio que le download. Je prends le luxe d’offrir les morceaux en qualitĂ©s CD non compressĂ©s, mais aussi en format compressĂ©s, itunes ... et cadeau Bonux je refais dĂ©couvrir les joies de la Haute FidĂ©litĂ© en offrant des vrais enceintes, un ampli avec des composants de qualitĂ©s, car je veux montrer que le web ça peut ĂȘtre aussi du progrĂšs. J’appellerai ça la librebox HIFI. Oui vous avez entendu aprĂšs 30 ans de progrĂšs qui ont fait de la musique numĂ©rique l’art de jouer du bruit dans des casseroles, on referait de la Haute FidĂ©litĂ© un concept moderne ! A raison de 3 minutes par morceau, de 6 heures jouĂ©es par jour soit 120 morceaux par jour, 20 jours ouvrĂ©s par mois soit 2400 morceaux par mois, le tavernier paie 48€ par mois et par poste de streaming. Le particulier, lui, peut tĂ©lĂ©charger des morceaux pour allĂ©ger la facture. Le FAI gagne 20 cents par heure jouĂ©e, et par client, tout en ayant des coĂ»ts marginaux presque nuls ; on appelle ça une vache Ă  lait. Il peut mĂȘme virer ses DJs en se basant sur les titres les plus Ă©coutĂ©s ! CoĂ»ts Sachant que le rĂ©seau est dĂ©jĂ  surdimensionnĂ©, que le coĂ»t le plus important est liĂ© au rĂ©fĂ©rencement et Ă  l’encodage de la musique, alors le coĂ»t est en premiĂšre approche liĂ© Ă  la taille du catalogue. Et on peut laisser faire une bonne partie du boulot par les groupes rĂ©fĂ©rencement, tĂ©lĂ©chargement des pochettes, inscriptions dans les bases, classification du genre musical et des robots qui s’occupent de convertir la musique dans les formats idoines. On garde le principe des DJs au dĂ©but. Faire faire son boulot par les autres, c’est pas pĂ©pĂšre ? Les coĂ»ts sont presque fixes, mes rentrĂ©es sont des redevances. Je passe pour un robin des bois en me gavant de thunes. J’ai gagnĂ©. Une fois la solution dĂ©veloppĂ©e les coĂ»ts par morceau additionnel sont marginaux. Et je capte de plus en plus d’adhĂ©rents pour mon activitĂ© principale, au coeur de ma valorisation en bourse... Pour les groupes Les groupes touchent une redevance automatique Ă  chaque Ă©coute, et se font connaĂźtre en bypassant les radios qui sont trop liĂ©es aux majors du disque notamment par la pub. Plus de thune, plus de notoriĂ©tĂ©, en travaillant autant. Il y a quoi de mal lĂ  dedans ? Pour les auditeurs Baisse des coĂ»ts, lĂ©galitĂ©, nouveautĂ©, plaisir d’entendre des trucs neufs, et de participer Ă  une aventure supposĂ©e Ă©thique. Pour les tenanciers Baisse des coĂ»ts, nouveautĂ©, le plaisir d’énuclĂ©er la SACEM ça va leur coĂ»ter les yeux de la tĂȘte. Pour le citoyen Les lois iniques, les doubles peines payer une taxe de piratage sur des supports, tout en Ă©tant en plus poursuivis pour tĂ©lĂ©chargement supposĂ©s illĂ©gaux deviennent obsolĂštes. Les dangers de la dĂ©rive du contrĂŽle de l’accĂšs au prĂ©texte de piratage sont repoussĂ©s, puisque les lois anti-piratage n’ont plus lieux d’ĂȘtre Ă©tant donnĂ© que la viabilitĂ© de l’offre lĂ©gale est dĂ©montrĂ©e. Pour les politiques Pour l’UMP une preuve que le libĂ©ralisme c’est bien, pour les gauchistes une preuve que le systĂšme actuel est verrouillĂ© par un capitalisme de rente, pour les alters la dĂ©monstration que l’on peut faire autrement ... Bref, une victoire pour tout le monde, et surtout pour la gauche rose bonbon qui trouve que tout est beau. Produits dĂ©rivĂ©s ? On clique sur le groupe et on peut lui demander de venir jouer de la musique libre. Conditions Ă  nĂ©gocier de mano Ă  mano. On peut imaginer la mĂȘme plate-forme pour des jeux, des images, des thĂšmes graphiques, des sonneries tĂ©lĂ©phones, des images de cul, des vidĂ©os d’actualitĂ©s, des nouvelles ... On peut imaginer que des petits malins pourront faire de l’argent en proposant moyennant surcoĂ»t d’accĂ©der Ă  la liste de leurs choix prĂ©fĂ©rĂ©s, Ă©pargnant Ă  des utilisateurs de se noyer dans la masse. En activitĂ© occasionnelle, pourquoi ne pas ĂȘtre payĂ© Ă  faire dĂ©couvrir la musique que vous aimez ? La diffĂ©rence par rapport au tĂ©lĂ©chargement lĂ©gal classique ? Les intermĂ©diaires sont zappĂ©s. Les artistes, les consommateurs sont contents ils ont tous un portefeuille plus rempli dans la plus stricte lĂ©galitĂ©. Et ça dĂ©passe le cadre de l’informatique, puisque surtout ça permet Ă  nouveau Ă  la musique d’ĂȘtre jouĂ©e dans les lieux de vie sans risque de poursuite financiĂšre et judiciaire. Pourquoi ça ne peut pas marcher Les problĂšmes de la musique actuelle sont sĂ»rement plus liĂ©s au manque d’imagination des parties prenantes qu’à la voracitĂ© des Ă©diteurs, et Ă  la stupiditĂ© et l’iniquitĂ© des lois. en France les FAI se concentrent avec les fournisseurs de contenus, et il y a une rumeur persistante de fusion du dernier FAI qui n’est pas dans la gestion de contenu avec N9UF Cegetel. Pourquoi feraient-ils une activitĂ© qui les concurrence, ou accepteraient-ils d’aider un concurrent en lui vendant les infrastructures idoines ? les musiciens sont viscĂ©ralement opposĂ©s Ă  sortir de leur schĂ©ma musique propriĂ©taire ils sont attachĂ©s Ă  ne pas donner la libertĂ© d’utilisation commerciale et d’étudier de leurs oeuvres. Sans offre libre, le marchĂ© ne peut exister. Au lieu de s’en prendre aux majors ils feraient mieux d’ĂȘtre un peu crĂ©atifs, mais c’est sĂ»rement trop leur demander ; les tenanciers de bars sont dĂ©jĂ  paumĂ©s et ont peur de la SACEM. Ils seraient trop facilement intimidĂ©s par les rumeurs de cette derniĂšre visant Ă  discrĂ©diter ce mode de distributions, rumeurs qui seraient aussi relayĂ©es par les majors, gros fournisseurs de pubs aux mĂ©dias traditionnels ; les penseurs du libre sont trop Ă  se prendre le chou avec des virgules mal placĂ©es dans un texte de loi pour s’intĂ©resser au monde rĂ©el ; les auditeurs aiment la Star’Ac ; les investisseurs diront que ça peut pas marcher car c’est bien connu on peut pas gagner d’argent sans arnaquer les gens ; surtout, tout le monde a trop peur pour essayer quoi que ce soit. Changer le monde n’est qu’une question de courage et d’imagination. Ressources qui manquent Ă  une Ă©poque oĂč le mouton de Panurge est le seul modĂšle social valable, et oĂč au lieu de se dire faisons !, tout le monde cherche des gourous pour trouver comment faire. Alors quand j’entends les pleureuses rebello-populos-intellos dire que l’on peut rien faire contre les majors, que la musique se meurt du piratage et du capitalisme, alors -dans mon for intĂ©rieur- j’ai envie de prendre une batte de base-ball pour Ă©clater ces tronches de veaux. Si rien ne se passe c’est pas que le monde est pas beau, pas gentil, c’est que personne n’a des couilles [5].
Enfait tout type de logement qui est louĂ© de maniĂšre saisonniĂšre et qui est Ă©quipĂ© d’une enceinte connectĂ©e, d’une tĂ©lĂ©, d’une radio doit payer les droits Ă  la Sacem. Pour les
Que vous soyez un particulier, une association ou une entreprise, la crĂ©ation d’une webradio peut nĂ©cessiter une dĂ©claration ou un conventionnement avec le CSA, l’obtention d’une autorisation pour les droits d’auteur auprĂšs de la SACEM et une dĂ©claration auprĂšs de la SPRÉ. Dans cet article, nous allons vous aider Ă  comprendre le fonctionnement des droits d’auteur, des droits voisins et les diffĂ©rents organismes auprĂšs desquels vous devez vous rapprocher pour diffuser en toute lĂ©galitĂ©. Bon nombre des Ă©lĂ©ments communiquĂ©s ci-dessus sont susceptibles d'Ă©voluer dans le temps. Il sera donc judicieux de contacter directement les diffĂ©rents organismes indiquĂ©s dans cet article en fonction de la nature de votre projet. Ai-je besoin d’une autorisation pour crĂ©er une Webradio ? Le rĂ©gime lĂ©gal applicable est le suivant si votre chiffre d’affaires est infĂ©rieur Ă  / an, vous devez simplement vous dĂ©clarer auprĂšs du CSA. Si votre chiffre d’affaires est supĂ©rieur Ă  cette limite de vous devez signer une convention avec le CSA. Ensuite, Ă  partir du moment oĂč vous souhaitez diffuser de la musique du rĂ©pertoire administrĂ© par la SACEM sur votre webradio, vous devez obtenir une autorisation de cet organisme au titre des droits d’auteur. En ce qui concerne les droits des artistes-interprĂštes et producteurs droits voisins vous n’avez plus, depuis le 1er dĂ©cembre 2019, Ă  solliciter d’accord prĂ©alable ni Ă  signer de contrat. À partir du moment oĂč vous diffusez des phonogrammes du commerce, vous devez seulement depuis cette date dĂ©clarer votre webradio Ă  la SPRÉ au titre de la rĂ©munĂ©ration Ă©quitable ». Cette rĂ©munĂ©ration prĂ©vue par la loi est au bĂ©nĂ©fice des artistes-interprĂštes et producteurs. Pour ce faire, il vous suffit de vous connecter au portail mis en place par la SPRÉ Ă  cet effet. En revanche, si vous ne souhaitez pas diffuser de la musique commerciale ou des derniers titres Ă  la mode, vous pouvez opter pour de la musique libre de droits et des Ă©missions de libre antenne. Quels sont les organismes Ă  contacter pour diffuser une Webradio en toute lĂ©galitĂ© et respecter droits d’auteur ? Pour diffuser lĂ©galement de la musique commerciale sur votre Webradio en France, trois organismes sont Ă  contacter la SACEM SociĂ©tĂ© des auteurs, compositeurs et Ă©diteurs de musique, la SPRÉ SociĂ©tĂ© pour la Perception de la RĂ©munĂ©ration Equitable et le CSA Conseil supĂ©rieur de l’audiovisuel. Quel est le rĂŽle de la SACEM ? La SACEM est une sociĂ©tĂ© privĂ©e Ă  but non lucratif qui regroupe le plus large choix de musique au monde. Elle est en charge de collecter les droits d’auteur, de promouvoir les jeunes crĂ©ateurs et de protĂ©ger en France et Ă  l’international les oeuvres les auteurs, les compositeurs et les Ă©diteurs qui lui font confiance. Comme vous le savez, les titres que souhaitez diffuser sur votre antenne sont des crĂ©ations protĂ©gĂ©es par la loi. Pour pouvoir les utiliser et respecter leurs crĂ©ateurs, vous devez obtenir une autorisation et payer une redevance auprĂšs de la SACEM. Une fois collectĂ©e, cette redevance est ensuite reversĂ©e aux crĂ©ateurs et aux Ă©diteurs pour rĂ©munĂ©rer leur travail. La SACEM propose diffĂ©rents forfaits en fonction du statut de votre webradio Un forfait Ă  80,00 € HT par an par canal de diffusion pour les Webradios associatives et pour les particuliers. Un forfait minimal de 200,00 € HT par an par canal de diffusion complĂ©tĂ© par un versement de 12 % des recettes annuelles pour les Webradios commerciales. Un forfait sur mesure en fonction de la nature du projet pour les Webradios associĂ©es Ă  des marques. Comme vous vous en doutez, rien n’est simple en France. Si vous voulez utiliser le single d’un artiste, son album ou les autoproduits liĂ©s, vous devez Ă©galement obtenir l’autorisation du producteur de cet enregistrement. Vous devez donc contacter la SCPP SociĂ©tĂ© civile des producteurs phonographiques, la SPPF SociĂ©tĂ© civile des producteurs de phonogrammes en France ou encore la SCPA SociĂ©tĂ© Civile des Producteurs AssociĂ©s pour vous mettre en rĂšgle avec la loi. Heureusement, un organisme vous permet d’éviter cela, la SPRÉ. Quel est le rĂŽle de la SPRÉ ? D’autres personnes que les auteurs-compositeurs interviennent dans la production d’un phonogramme les artistes-interprĂštes et le producteur. La loi leur a accordĂ© des droits voisins ». Lors de l’utilisation des phonogrammes sur votre webradio, vous deviez donc Ă  ce titre demander, en plus de la demande Ă  la SACEM, une autorisation aux reprĂ©sentants de ces bĂ©nĂ©ficiaires. Dans un souci de simplification, il n’y a plus d’autorisation Ă  solliciter, depuis le 1er dĂ©cembre 2019. DĂ©sormais, une simple dĂ©claration Ă  la SPRÉ suffit pour avoir accĂšs librement Ă  l’ensemble du rĂ©pertoire phonographique. La SPRÉ est une sociĂ©tĂ© civile statut d’OGC chargĂ©e de percevoir la rĂ©munĂ©ration Ă©quitable due aux artistes interprĂštes et producteurs phonographiques art L214-1 et suivants du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle. Cette rĂ©munĂ©ration Ă©quitable est en gĂ©nĂ©ral assise sur les recettes annuelles des radios, des webradios, des chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision, des discothĂšques, des bars ou des restaurants pour lesquels la musique constitue l’élĂ©ment central de l’activitĂ©. La SPRÉ reverse, Ă  paritĂ©, les sommes perçues au titre de la rĂ©munĂ©ration Ă©quitable aux OGC reprĂ©sentants des artistes-interprĂštes ADAMI + SPEDIDAM et aux OGC reprĂ©sentants des producteurs phonographiques SCPA pour le compte de la SCPP et SPPF. Contrairement aux liens qui lient contractuellement un utilisateur de musique Ă  la SACEM, les barĂšmes de la SPRE sont fixĂ©s pour chaque catĂ©gorie d’utilisateurs, par une commission dites commission de l’article du CPI ». Les barĂšmes de la rĂ©munĂ©ration Ă©quitable sont donc adoptĂ©s par cette commission sous l’autoritĂ© du ministĂšre de la culture et publiĂ©s au Journal Officiel de la RĂ©publique Française JORF. Les barĂšmes de la rĂ©munĂ©ration Ă©quitable relative aux webradios ont fait l’objet d’une dĂ©cision rĂ©glementaire qui a Ă©tĂ© publiĂ©e au JORF le 29/11/2019, ils sont consultables en ligne sur le site de LĂ©gifrance. Deux modes de tarification dĂ©taillĂ©e dans la dĂ©cision rĂ©glementaire sont applicables Ă  l’ensemble des webradios indĂ©pendamment de leur statut juridique particulier, association, entreprise. Le montant minimum Ă  payer, quel que soit le mode de tarification choisi – mĂȘme pour les webradios qui ne gĂ©nĂšrent pas de CA – est de 345€ TTC hors abattement 5% du prĂ©lĂšvement automatique et pour une diffusion >= Ă  273 jours/an. » Pour plus d’informations sur ce forfait, vous pouvez contacter les Ă©quipes de la SPRÉ qui vous guideront en fonction de la nature de votre projet contact Quelle diffĂ©rence entre SACEM et SPRÉ ? La SPRÉ et la SACEM sont indĂ©pendantes, mais complĂ©mentaires dans leurs actions. La SACEM perçoit et rĂ©partit le droit des auteur, compositeurs et Ă©diteurs de musique. La SPRE, elle perçoit le droit des artistes interprĂštes et des producteurs de musique pour les partager Ă©quitablement. Que se passe-t-il si on ne paye pas la SACEM et la SPRÉ ? L’idĂ©e de crĂ©er une webradio pour partager sa passion de la musique dans le monde entier est louable, mais il ne faut pas oublier qu’il s’agit Ă©galement d’une activitĂ© professionnelle pour les artistes et les producteurs. Le non-paiement des droits peut donc ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une infraction pĂ©nale passible d’une amende. Si vous ne payez donc pas vos droits auprĂšs de la SACEM et de la SPRÉ, vous risquez de recevoir une invitation de ces organismes Ă  vous mettre en rĂšgle. AprĂšs plusieurs relances sans rĂ©ponses de votre part, une mise en demeure sera effectuĂ©e et pourra mener Ă  des pĂ©nalitĂ©s lĂ©gales ou judiciaires si vous refusez de souscrire. Comment faire pour ne pas payer les droits d’auteur ? Pour ne pas payer la SACEM ou la SPRÉ, certaines webradios font le choix de ne diffuser que de la musique libre de droits. Toutefois, cette musique n’est pas gratuite pour autant. Vous pouvez par exemple avoir Ă  payer une licence auprĂšs de cette plateforme ou l’obligation de mentionner la source des musiques tĂ©lĂ©chargĂ©es pour pouvoir l’exploiter. Cette licence sera gĂ©nĂ©ralement moins onĂ©reuse que les forfaits de la SACEM et de la SPRÉ, mais elle mĂ©ritera un comparatif entre le coĂ»t et les besoins rĂ©els de votre webradio. Quel est le rĂŽle du CSA ? Le CSA est l’autoritĂ© française de rĂ©gulation de l’audiovisuel uniquement sur la radio et la tĂ©lĂ©vision. L’intitulĂ© de sa mission est de garantir l’exercice de la libertĂ© de communication audiovisuelle en France. Au regard de la loi de 1986, les webradios sont assujetties au rĂ©gime applicable aux services de tĂ©lĂ©vision et de radio qui souhaitent ĂȘtre diffusĂ©s ou distribuĂ©s par un rĂ©seau n’utilisant pas les frĂ©quences assignĂ©es par le CSA cĂąble, satellite, ADSL, internet, tĂ©lĂ©phonie, etc.. Il est dĂ©fini par l’article 33-1 de la loi du 30 septembre 1986 relative Ă  la libertĂ© de la communication. Il prĂ©voit que ces services sont soumis au rĂ©gime du conventionnement par le Conseil ou, par dĂ©rogation, de la dĂ©claration auprĂšs de lui. Par consĂ©quent, les webradios ou les services de radio sur internet entrent bien dans le champ de compĂ©tence du Conseil. Attention, pour pouvoir ce dĂ©clarer, il est obligatoire de prouver l’existence d’une personne morale pour dĂ©clarer sa webradio une personne physique ou auto-entrepreneur n’est pas suffisant. Il existe donc un flou juridique sur ce point Si le budget est infĂ©rieur Ă  75 000 euros. Le service est soumis Ă  un rĂ©gime dĂ©claratif et le CSA dĂ©livre un rĂ©cĂ©pissĂ© Ă  l’éditeur. Si le budget est supĂ©rieur Ă  75 000 euros. Le service est soumis au rĂ©gime du conventionnement et le CSA signe une convention nĂ©gociĂ©e avec l’éditeur. Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site du CSA. Vous pouvez aussi retrouver le dossier Ă  remplir en suivant ce lien en vue d’une dĂ©claration ou d’un conventionnement. Comment fournir un rapport des titres diffusĂ©s sur sa Webradio ? GrĂące au Manager Radio, il est possible de gĂ©nĂ©rer un rapport de diffusion et de l’envoyer directement auprĂšs des diffĂ©rents organismes pour effectuer votre dĂ©claration. En rĂ©sumĂ©, sachez qu’avec la SACEM, la SPRÉ et le CSA Ă  vos cĂŽtĂ©s, votre webradio pourra diffuser en toute lĂ©galitĂ©. Comme chaque projet est unique, si vous avez d’autres questions, vous pouvez vous rapprocher directement des diffĂ©rents organismes qui sauront vous guider. PrĂȘt Ă  lancer votre propre radio sur Internet ? Testez gratuitement pendant 7 jours! Arnaud Communication Manager, Ginger with Soul Communication Manager, Ginger with Soul
Unedes raisons qui prouve que s’inscrire Ă  la Sacem est non nĂ©gligeable (hormis le fait que l’artiste est rĂ©munĂ©rĂ© pour tout type d’exploitation de son Ɠuvre et qu’il ne laisse pas disparaitre de l’argent qui lui serait en temps normal destinĂ©, ce qui reste la principale raison Ă  mon sens), est que cet organisme se base sur des donnĂ©es concrĂštes reprĂ©sentatives
TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Publier votre musique signifie que vous l'Ă©ditez de sorte que d'autres gens puissent l'Ă©couter. Comme pour n'importe quel mĂ©dia, vous pouvez soit faire appel Ă  un producteur, soit la produire vous-mĂȘme autopublication. Cet article expose les deux possibilitĂ©s. 1DĂ©finissez-vous un genre et limitez-vous Ă  celui-ci. Depuis que les producteurs paramĂštrent leurs recherches de nouveaux artistes autour de genres particuliers, c'est mieux de se concentrer sur un seul genre pour les jeunes artistes. Rassurez-vous, vous pourrez passer outre cette limitation plus tard [1] . 2CrĂ©ez une dĂ©mo. 3Soumettez directement votre musique aux producteurs. Parcourez les bases de donnĂ©es d' ou aux États-Unis ou les organisations Ă©quivalentes de droits d'auteur dans votre pays. Recherchez des titres de chansons ou des noms de chanteurs dans votre genre musical et prenez note de leurs producteurs pour pouvoir Ă  votre tour soumettre vos chansons Ă  ceux-ci. Une autre maniĂšre de trouver des producteurs est de feuilleter le Billboard Magazine, en recherchant les chansons Ă  succĂšs dans votre genre pour pouvoir dĂ©couvrir les producteurs qui les publient et qui sont susceptibles de vous publier Ă  votre tour [2] . Appelez les producteurs pour savoir Ă  qui vous devez envoyer votre musique et sur quel format. 4 Connectez-vous avec l'industrie musicale. C'est tellement important que, si vous ne vivez pas prĂšs d'une ville oĂč les gens produisent de la musique un centre musical », vous devrez considĂ©rer sĂ©rieusement l'Ă©ventualitĂ© de dĂ©mĂ©nager [1] . Suivez de prĂšs les activitĂ©s de l'industrie musicale. Sortez lĂ  oĂč les moteurs et entremetteurs » de votre industrie et de votre genre sortent. Allez aux nuits des auteurs de chansons. Rejoignez des associations adĂ©quates. Au Canada SOCAN The Society of composers, authors and music publishers in Canada », la sociĂ©tĂ© des auteurs, compositeurs et producteurs de musique au Canada. En France, la SACEM. Soyez assertifve tout en restant poli lorsque vous rencontrez des gens de l'industrie musicale souvenez-vous qu'ils sont certainement tous les jours bombardĂ©s d'artistes qui rĂȘvent d'ĂȘtre publiĂ©s [1] . CoĂ©crivez des chansons avec des artistes produits et non produits on ne sait jamais, peut-ĂȘtre qu'un jour quelqu'un avec qui vous avez travaillĂ© vous prĂ©sentera Ă  un producteur. 5 Lorsque l'on vous propose un contrat de production, prenez un avocat. Voici quelques facteurs Ă  considĂ©rer lorsque vous choisissez de vous engager ou non avec un producteur particulier [3] . Dans quels dĂ©lais le producteur peut-il payer ? Le producteur a-t-il un rĂ©seau international pour collecter des fonds Ă  l'Ă©tranger via des contrats de sous-Ă©dition ou via des sociĂ©tĂ©s d'adhĂ©rents ou de collectes d'outre-mer ? Comment les revenus de publication sont-ils partagĂ©s entre les partenaires ou les autres membres du groupe ? Clarifiez les choses dĂšs le dĂ©but pour ne pas avoir Ă  vous battre plus tard au tribunal. Si la personne avec laquelle vous signez quitte la boite de production, y a-t-il d'autres personnes qui sont prĂȘtes Ă  reprendre votre contrat de maniĂšre aussi enthousiaste que la personne qui s'en va ? Le producteur se spĂ©cialise-t-il dans votre genre musical ? Le producteur peut-il payer des avances ? PrĂ©fĂ©rez-vous un grand ou un petit producteur ? Note. Les producteurs de musique ne font gĂ©nĂ©ralement leurs bĂ©nĂ©fices que lorsque l'artiste en fait. C'est pourquoi, la plupart du temps, ce sont les compagnies les plus grosses qui peuvent se permettre de payer des avances aux auteurs Ă  moins que vous ne soyez un artiste avec un grand crĂ©dit qui vous donne le pouvoir de nĂ©gocier la rĂ©ception d'une avance. Les avances sont donc rĂ©cupĂ©rĂ©es sur les bĂ©nĂ©fices produits par la publication de la chanson. La plupart des producteurs indĂ©pendants vont commercialiser votre chanson gratuitement jusqu'Ă  ce que la chanson produise des bĂ©nĂ©fices qui iront Ă  la fois aux producteurs et Ă  l'artiste. Les auteurs de chansons ne sont payĂ©s que lorsque leur musique produit des bĂ©nĂ©fices, les avances ne sont payĂ©es que s'il y a des possibilitĂ©s avĂ©rĂ©es que la chanson gĂ©nĂšre des bĂ©nĂ©fices. PublicitĂ© 1Enregistrez vos chansons sur des CD que vous vendez en ligne sur votre site web ou sur un site tiers. 2Rendez votre musique disponible au tĂ©lĂ©chargement au cout qui vous semblera appropriĂ©. Vous pouvez faire cela via votre propre site internet ou sur un site tiers. Un simple site internet personnel ne rĂ©clame pas trop de technique. Toutefois, si vous voulez crĂ©er quelque chose de plus raffinĂ©, comme Ă©tablir un magasin en ligne, cela vous demandera plus de connaissances et d'efforts. Sur certaines plateformes vous pouvez vendre, en plus de votre musique, les droits de sa diffusion [4] . 3 Enregistrez-vous dans une organisation de droits d'auteur reconnue la SACEM en France. C'est essentiel pour que vous soyez payĂ© lors des diffusions radios ou de toute diffusion publique de votre chanson. Trouvez un nom pour votre compagnie de production. Cela facilitera les contrĂŽles. Enregistrez-vous avec BMI ou ASCAP aux USA ou Ă  la SACEM en France en tant que producteur. Enregistrez-vous aussi en tant que musicien dans l'organisation que vous aurez choisie. ASCAP demande des frais d'inscription non remboursables de 50 dollars pour vous inscrire comme artiste. BMI vous rĂ©clamera des frais de 150 dollars non remboursables pour vous inscrire comme producteur ou 250 dollars si vous ĂȘtes associĂ©s [5] . L'ASCAP propose un arrangement plus flexible [6] . Une fois que le nom est approuvĂ©, remplissez un formulaire de DBA Doing Business As, sociĂ©tĂ© d'affaires dans une banque. Cela sert Ă  clarifier vos Ă©changes budgĂ©taires avec votre compagnie de publication. Enregistrez chacune de vos chansons. PublicitĂ© Conseils Si vous ĂȘtes un autoproducteur, pensez Ă  utiliser un distributeur de musique en ligne pour pouvoir vendre vos chansons Ă  des magasins de musiques que vos fans ont l'habitude de frĂ©quenter. Trouvez quelles sont les compagnies de droits d'auteurs qui sont actives dans votre pays sur WikipĂ©dia PublicitĂ© À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 5 594 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? 1oPW. 349 221 326 495 90 347 311 478 39

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