Cest du confort mais pas du luxe comme on peut se le reprĂ©senter (tu t’habilles ps en Dior / Prada, tu pars pas en voyage en dormant dans des hĂŽtels 5* tous les soirs, tu n’as pas un chef Ă  domicile. Bref c’est du « confort amĂ©liorĂ© », mais pas du luxe tel qu’il est entendu habituellement. Bah oui 10€ le repas du soir quand tu as de la viande Ă  40€ le kilos c'est pas

Les conflits de travail aux prud'hommes sont le reflet de notre histoire sociale dĂ©clinĂ©e au quotidien. L'audience est publique. Une journaliste de a poussĂ© la porte d'une chambre oĂč siĂšgent quatre conseillers deux reprĂ©sentants patronaux, deux reprĂ©sentants des salariĂ©s, et assistĂ© aux dĂ©bats. 16 h 05. Le prĂ©sident de la deuxiĂšme chambre, accompagnĂ© de deux conseillers et d'une conseillĂšre, demande Ă  l'avocate de Christelle et Ă  son confrĂšre, qui reprĂ©sente un cabinet de recrutement, d'approcher. - Le prĂ©sident "C'est pour une faute grave ?" - L'avocate de Christelle "Tout Ă  fait."- Le prĂ©sident Ă  l'avocate de Christelle "Pour les demandes, nous vous Ă©coutons." - L'avocate de Christelle "Nous demandons l'annulation des avertissements qu'a reçus ma cliente et de considĂ©rer le licenciement sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse. Nous demandons Ă©galement € d'heures supplĂ©mentaires et € de congĂ©s payĂ©s affĂ©rents, € de repos compensateur et 732,14 € de congĂ©s payĂ©s affĂ©rents, € de rappel de salaire pour mise Ă  pied et 195,31 € de congĂ©s payĂ©s affĂ©rents, € de prĂ©avis et € de congĂ©s payĂ©s affĂ©rents, € d'indemnitĂ©s de licenciement, € de dommages et intĂ©rĂȘts pour licenciement sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse, € de dĂ©faut d'information sur le droit individuel Ă  la formation, € pour clause de concurrence illicite, € de prĂ©judice moral et € d'article 700." - Le prĂ©sident "D'accord. Nous vous entendons sur le fond." - L'avocate de Christelle "Ma cliente a commencĂ© le 1er avril 2008. Elle Ă©tait cadre, chargĂ©e de recherche dans ce cabinet de recrutement oĂč l'on chasse les meilleurs profils pour le compte de clients. Son salaire Ă©tait de € en moyenne. Elle reçoit un premier avertissement le 12 septembre 2011 puis un deuxiĂšme le 28 novembre 2011. Elle est convoquĂ©e Ă  un entretien le 2 dĂ©cembre avec mise Ă  pied immĂ©diate. L'entretien a lieu le 13 dĂ©cembre. Ma cliente reçoit sa lettre de licenciement pour faute grave le 19 dĂ©cembre. Et nous voilĂ  devant vous." - Le prĂ©sident "TrĂšs bien. Commencez par les heures supplĂ©mentaires." - L'avocate de Christelle "Je demande un rappel d'heures supplĂ©mentaires liĂ©es Ă  la relation contractuelle. Dans cette entreprise, les horaires sont de 9 h Ă  19 h avec une heure de pause le midi, ce qui fait donc 45 heures par semaine." - Le prĂ©sident "Cette affirmation repose sur quoi ?" - L'avocate de Christelle "Je vous produis un kit de formation et un livret d'accueil pour les salariĂ©s. Il y est indiquĂ© 'ces horaires s'appliquent Ă  tout le monde'." - Un conseiller "Ce ne sont pas les horaires d'ouverture dont vous parlez, MaĂźtre ?" - L'avocate de Christelle "Non, vous verrez que c'est le guide qui est donnĂ© Ă  tous les salariĂ©s. Il n'est pas Ă©crit 'Merci de faire vos 35 heures dans ces horaires'. Il est Ă©crit que ce sont les horaires de travail. Vous vĂ©rifierez par vous-mĂȘmes, Monsieur le conseiller." Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement - Le prĂ©sident Ă  l'avocat de l'entreprise "Votre interprĂ©tation ?" - L'avocat de l'entreprise "Dans cette sociĂ©tĂ©, tout le monde travaille en bonne intelligence. Il y a une vraie libertĂ© et une souplesse dans son fonctionnement." - Le prĂ©sident "Je vous demandais ce que vous rĂ©pondiez Ă  l'argument des 45 heures par semaine..." - L'avocat de l'entreprise "Article du Code du travail. La durĂ©e du travail effectif est le temps pendant lequel le salariĂ© est Ă  la disposition de l'employeur et se conforme Ă  ses directives sans pouvoir vaquer librement Ă  des occupations personnelles. Nous nous basons sur un agenda que nous produisons. Vous verrez que, pendant des journĂ©es entiĂšres, nous ne savons pas ce que Madame faisait." - L'avocate de Christelle "C'est Ă  la demande de l'employeur que les heures supplĂ©mentaires ont Ă©tĂ© faites. S'il ne les paye pas, c'est du travail dissimulĂ© ! J'ai prouvĂ© chaque demande qui a Ă©tĂ© faite Ă  ma cliente. Quand un consultant lui demande de recevoir des gens aprĂšs 19 h, elle le fait. Je produis des mails dans ce sens Ă  partir desquels j'ai construit mon raisonnement." - La conseillĂšre "Vous dites que la salariĂ©e a travaillĂ© trois ans comme une folle sans rien dire ?" - L'avocate de Christelle "Madame la conseillĂšre, je dis que quand on est en poste, on se tait, car on n'a pas envie de se faire virer. C'est la rĂ©alitĂ©."- Le prĂ©sident Ă  l'avocat de l'entreprise "Vous appliquez des horaires Ă  des salariĂ©s et vous dites qu'ils sont libres ? Vous avez fait changer les horaires Ă  l'entreprise ?" - L'avocat de l'entreprise trĂšs ennuyĂ© "Oui, c'Ă©tait un peu ambigu..." - Le prĂ©sident "Je vous remercie ! L'ambiguĂŻtĂ© sert Ă  qui, MaĂźtre ? Reprenons sur la clause de non-concurrence." - L'avocate de Christelle "Son contrat de travail prĂ©voit six mois de clause." - Le prĂ©sident "Quand a-t-elle officiellement Ă©tĂ© levĂ©e ?" - L'avocate de Christelle "Jamais. On parle de 5,96 % de son salaire sur six mois. Cela fait 200 € par mois. C'est plus que dĂ©risoire et cela ne correspond pas aux critĂšres admis par la jurisprudence sur la clause de non-concurrence." - Le prĂ©sident "TrĂšs bien. Sur les avertissements et le licenciement pour terminer..." - L'avocate de Christelle "De janvier Ă  aoĂ»t 2011, les tĂąches de ma cliente augmentent. Elle remplace une collĂšgue en congĂ© de maternitĂ©. Le 5 septembre, la collĂšgue revient. Le 12 septembre, c'est le premier jour de congĂ© de ma cliente qui reçoit un premier avertissement. On lui reproche de manquer de rigueur, d'attention et d'investissement." - Le prĂ©sident "Sur quel fait prĂ©cisĂ©ment ?" - L'avocate de Christelle "Le vendredi 9, aprĂšs-midi, elle n'a pas rempli un dossier, alors que les 5, 6, 7 et 8 septembre, elle avait tout rempli, normalement. Mais le 9 septembre aprĂšs-midi, elle est en rĂ©union. Elle n'a pas le temps de le faire." - Le prĂ©sident "Et elle reçoit cette lettre le lundi 12 septembre ?" - L'avocate de Christelle "Oui. Elle est chez elle, en congĂ©, et remplit ce fameux dossier." - Le prĂ©sident "Il n'y a jamais eu autre chose ?" - L'avocate de Christelle "Non. D'autant que le mardi 13, elle reçoit un mail de sa supĂ©rieure qui lui dit qu'elle travaille bien." - Le premier conseiller "Ce n'est donc pas elle qui a signĂ© l'avertissement ?" - L'avocate de Christelle "Non." - Le prĂ©sident "Et le deuxiĂšme avertissement ?" - L'avocate de Christelle "Elle le reçoit le 28 novembre. 'Persistance d'une attitude nĂ©gative', lui Ă©crit-on." - Le prĂ©sident "Ce n'est pas du factuel !" - L'avocate de Christelle "Non. Mais on lui prĂ©cise qu'il y a un souci sur un dossier. Il y a 76 candidats, 18 coups de fil, mais ma cliente n'a pas trouvĂ© le bon candidat. La personne qui lui a succĂ©dĂ© non plus. C'est trĂšs rare, mais cela arrive. Ce n'est pas parce qu'elle n'a pas cherchĂ© qu'elle n'a pas trouvĂ© !" - Le prĂ©sident en riant "Sur la lettre de licenciement, vous dites que la salariĂ©e a perturbĂ© ses collĂšgues ! Vous pouvez dĂ©velopper ?" - L'avocat de l'entreprise trĂšs sĂ©rieux "Plus personne ne voulait travailler avec elle !" - Le prĂ©sident "Mais qu'est-ce qu'on nous apporte pour juger de l'attitude de Madame ?" - L'avocate de Christelle "Rien. Ma cliente conteste avoir Ă©tĂ© agressive. Elle a refusĂ© de donner son bloc Ă  son supĂ©rieur. Elle a Ă©tĂ© immĂ©diatement convoquĂ©e Ă  un entretien. Elle touche des primes en octobre et novembre et on lui reproche son manque d'implication. Il y a un souci..." - L'avocat de l'entreprise "Les sommes proviennent de commissions faites trois mois avant."- Le prĂ©sident "On sent bien qu'il s'est passĂ© quelque chose Ă  partir du 12 septembre, mais nous ne saurons jamais quoi. MaĂźtre, vous souhaitez terminer ?" - L'avocate de Christelle "J'insiste sur ma demande d'annuler les avertissements que mon confrĂšre n'a pu justifier. Quant Ă  la faute grave qui en dĂ©coule... Outre le fait qu'elle n'est pas justifiĂ©e, elle a mis ma cliente dans une situation difficile. Elle avait contractĂ© un emprunt immobilier qui ne garantissait pas la faute grave..." - Le prĂ©sident "AĂŻe..." 17 h 40. Fin des dĂ©bats. Verdict. Le conseil annule les deux avertissements et dĂ©clare le licenciement sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse. La sociĂ©tĂ© doit payer € de rappel sur salaire pour la pĂ©riode de mise Ă  pied avec 195,31 € de congĂ©s payĂ©s affĂ©rents, € de prĂ©avis avec € de congĂ©s payĂ©s affĂ©rents, € d'indemnitĂ©s de licenciement, € de dommages et intĂ©rĂȘts pour licenciement sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse, € de dĂ©faut d'information sur le droit individuel Ă  la formation, € de rappel d'heures supplĂ©mentaires, 174,64 € de congĂ©s payĂ©s affĂ©rents, 597,40 € de repos compensateur et 59,40 € de congĂ©s payĂ©s affĂ©rents, € de dommages et intĂ©rĂȘts pour clause de non-concurrence illicite et 700 € d'article 700. Heures supplĂ©mentaires, la rĂšgle La durĂ©e lĂ©gale du temps de travail est de 35 heures ou la durĂ©e Ă©quivalente dans certains secteurs d'activitĂ©, mais l'employeur peut demander au salariĂ© de travailler davantage. À dĂ©faut d'accord collectif, le contingent d'heures supplĂ©mentaires est fixĂ© Ă  220 heures par salariĂ© et par an. Des heures supplĂ©mentaires peuvent Ă©galement ĂȘtre effectuĂ©es au-delĂ  du contingent annuel si une convention ou un accord collectif le prĂ©voit et fixe les conditions d'accomplissement de ces heures. Ces heures supplĂ©mentaires sont rĂ©munĂ©rĂ©es, sauf si un accord prĂ©voit le remplacement pour tout ou partie de la rĂ©munĂ©ration par un repos compensateur. Elles sont majorĂ©es de 25 % pour les 8 premiĂšres heures de la 36e Ă  la 43e et de 50 % pour les suivantes. Un taux de majoration de 10 % peut ĂȘtre prĂ©vu par convention ou accord collectif. Attention les cadres dirigeants ou les cadres ayant signĂ© une convention de forfait annuel en heures ou en jours ne sont pas soumis Ă  cette rĂšgle. Les plus lus OpinionsLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne RosencherChroniquePar GĂ©rald Bronner

4RĂ©ponses. Bonjour, Il existe une procĂ©dure afin d'obliger votre ex-mari Ă  payer sa pension alimentaire. Pour cela, il faut lui envoyer un courrier en recommandĂ©. Si ça ne donne toujours pas de rĂ©sultat, il faut s'adresser Ă  un huissier de justice de votre ville. Il demandera une saisie-arrĂȘt sur salaire de votre ex-conjoint. Francis, saoul, dans la rue Mathieu MĂ©ron. Palais de justice de Paris, 14e chambre correctionnelle. La suite aprĂšs la publicitĂ© L’affaire qui nous occupe amĂšne Ă  la barre un grand Martiniquais en habits de cocktail. Son escorte, sagement assise, le suit du regard sans piper mot. Le plaignant, un adolescent de 15 ans, ne s’est pas prĂ©sentĂ©. Je comprends que la femme aux cheveux gris est la mĂšre de la jeune victime. On vous reproche d’avoir, Ă  Paris, commis des violences sur la personne de David, ĂągĂ© de 15 ans. Reconnaissez-vous les faits ? », demande d’abord le prĂ©sident, dont les lustres se reflĂštent sur le crĂąne lisse. Oui, j’assume », rĂ©pond Francis, 30 ans. L’homme a un passĂ© ; rien de trop grave mais l’alcool lui joue des tours. DĂ©couvrant son casier, le prĂ©sident Faites gaffe avec la conduite vous, hein ? ». Ouais, c’est fini... », rĂ©torque Francis avec un clin d’Ɠil malicieux. Les faits sont simples et reconnus. Il est prĂšs de minuit quand Francis sort de chez des amis aprĂšs avoir bu sept ou huit verres de vodka. Dans son ivresse [0,93 mg/litre d’air expirĂ©], l’homme a Ă©garĂ© ses papiers ; il est colĂšre. Il vadrouille par les rues un moment et, arrivĂ© Ă  la Porte de Versailles, il se roule un joint. La suite aprĂšs la publicitĂ© A quelques encablures, David, un passionnĂ© de mĂ©canique, s’occupe de son scooter. Sans rien voir venir, David reçoit un furieux coup de poing dans la bouche qui l’envoie au tapis. C’était juste un coup de poing, quoi » Devant moi, la mĂšre agite le bras en direction de la procureure. Vous ĂȘtes la mĂšre ? », demande cette derniĂšre, en pointant son index baguĂ©. Approchez, madame », ordonne le prĂ©sident. La femme avance craintivement dans la petite nef, en serrant sa droite pour ĂȘtre le plus loin possible de l’agresseur de son fils. Vous savez, il a eu peur de venir, peur des consĂ©quences », susurre-t-elle. – Oh non. Non, faut pas », interrompt Francis, honteux, et puis je n’avais pas l’intention de porter d’autres coups. Sur le moment, un peu bourrĂ©, c’était juste un coup de poing, quoi ». – David a eu la lĂšvre un peu enflĂ©e », et rĂ©clame 1 000 euros de prĂ©judice. Francis et la mĂšre de David se rassoient. La suite aprĂšs la publicitĂ© Francis, saoul, frappe David, ĂągĂ© de 15 ans Mathieu MĂ©ron. Plus on frappe fort, plus on est fou » La procureure, une grande cigogne, commence son rĂ©quisitoire sur le ton de l’indignation Mais oĂč sommes-nous ? » Silence. Vous ĂȘtes ivre mort, contrariĂ©, mais vous avez suffisamment d’esprit pour vouloir vous en prendre Ă  un jeune de 15 ans, absent aujourd’hui. Parce qu’à 15 ans, on a le droit d’avoir peur ! » L’homme fronce les sourcils. Elle poursuit La suite aprĂšs la publicitĂ© Monsieur le prĂ©sident faisait remarquer qu’il n’y avait pas d’expertise psychiatrique dans votre dossier et que cela posait un vĂ©ritable problĂšme. Evidemment, les psys, c’est rĂ©servĂ© aux dĂ©linquants vous comprenez, plus on frappe fort, plus on est fou et plus on a le droit Ă  un psy. Les victimes, elles n’ont que leurs parents... » La procureure requiert une peine d’emprisonnement de deux mois assortie d’un sursis de cinq ans et une amende de 750 euros. Le prĂ©venu s’adresse Ă  la mĂšre de David, une main sur le cƓur J’aurais voulu m’excuser en face. Je ne prends pas ça Ă  la lĂ©gĂšre. » La mĂšre l’écoute bouche bĂ©e, les mains derriĂšre le dos. Je peux faire un Ă©chĂ©ancier ? » Le prĂ©sident Ă©crit quelque chose – son jugement – et demande Ă  Francis de se lever. Il le taquine encore Bon, on va pas vous mettre un suivi avec l’alcool mais enfin, faites attention ! Alors vous ĂȘtes condamnĂ© Ă  une peine de deux mois de sursis, auxquels s’additionnent 750 euros de dommages et intĂ©rĂȘts et 750 euros d’amende, plus 90 euros de frais de justice. » Un peu sonnĂ© par la hausse soudaine du cours du coup de poing, il demande 1 500 ? »La suite aprĂšs la publicitĂ© – Oui, et vous avez intĂ©rĂȘt Ă  payer, d’accord ? » – Et je peux faire un Ă©chĂ©ancier ? », s’inquiĂšte Francis. Le prĂ©sident, bonhomme, prĂ©cise au Martiniquais Bien Ă©videmment, tout est dĂ©taillĂ© sur le site du ministĂšre de la Justice, rassurez-vous. Alors c’est »
Sivous ne payez toujours pas, votre ami peut introduire une procédure devant le juge, pour lui demander de vous condamner à payer. Il doit s'adresser : au juge de paix si le montant de la dette est égal ou inférieur à 5 000 EUR; au tribunal de premiÚre instance si le montant de la dette est supérieur à 5 000 EUR.
La justice nous apprend qu'un acheteur peut refuser de verser sa commission Ă  un agent immobilier dans une transaction immobiliĂšre si l'acte de vente ne prĂ©cise pas ce immobilier, quel que soit son travail fourni, n'a droit Ă  une rĂ©munĂ©ration que si le compromis ou l'acte de vente signĂ©s entre vendeur et acheteur le prĂ©voient. Sans ces mentions dans ces actes d'engagement», le juge ne peut pas, selon la Cour de cassation, imposer le paiement d'une commission, mĂȘme si l'une des parties s'y Ă©tait clairement engagĂ©e. L'acquĂ©reur d'un bien refusait de verser une commission Ă  l'agent immobilier car l'acte de vente notariĂ© ne prĂ©cisait pas qui, de l'acquĂ©reur ou du vendeur, avait l'obligation de payer. » LIRE AUSSI - Combien gagnent les agents immobiliers? La justice, dans un premier temps, a condamnĂ© l'acquĂ©reur en soulignant qu'il s'Ă©tait maintes fois engagĂ©, notamment par Ă©crit, auprĂšs de l'agent immobilier, sur le principe et sur le montant de sa commission. Il avait reconnu avoir visitĂ© grĂące Ă  l'agent immobilier, avoir fait une offre par son intermĂ©diaire, s'Ă©tait engagĂ© Ă  lui verser ses honoraires de nĂ©gociation et avait enfin intĂ©grĂ© le montant de cette commission dans son plan de financement. De plus, il Ă©tait prouvĂ© que l'agent immobilier avait trouvĂ© pour l'acquĂ©reur le financement nĂ©cessaire auprĂšs d'une banque. Le compromis ou l'acte de vente font foiPour les premiers juges, la preuve Ă©tait donc faite que l'acquĂ©reur avait bien compris et admis son engagement vis-Ă -vis de l'agent immobilier ainsi que le rĂŽle d'intermĂ©diaire rĂ©ellement jouĂ© par ce dernier. Mais depuis 1970, a observĂ© la Cour de cassation, la loi est trĂšs exigeante sur le droit de l'agent immobilier Ă  percevoir sa rĂ©munĂ©ration. Et quelles que soient les preuves de l'engagement pris par un vendeur ou un acquĂ©reur Ă  ce sujet, quelles que soient les preuves du travail fourni, rien n'est dĂ» si un acte d'engagement des deux parties ne le prĂ©voit pas. Le compromis de vente ou l'acte de vente doivent donc prĂ©ciser le montant des frais d'agence et la partie qui en a la charge. Sans quoi l'agent immobilier n'a droit Ă  rien. Plus de conseils pratiques sur le mĂȘme thĂšme VendreJe vends Services Comparez les devis de notre sĂ©lection de dĂ©mĂ©nageurs Figaro Immobilier RĂ©dacteurtrice chez Figaro Immobilier
Alire : CondamnĂ© Ă  payer mais je ne peux pas. Les consĂ©quences d’un effacement de dettes. L’effacement de dettes va de pair avec une inscription au FICP (Fichier national des Incidents de CrĂ©dits aux Particuliers), pour une durĂ©e maximale de 5 ans.. Cela entraine des complications, avec gĂ©nĂ©ralement des refus de crĂ©dits partout, car les organismes financiers doivent
Bonjour NicoletaSi le prélÚvement a été rejeté, vous pouvez régler votre facture d'ici la fin du mois - Par carte bancaire sur votre Espace Client avec une autre CB. Pour cela, cliquez sur le lien "Payer ma facture" présent dans la rubrique "Factures".- Par chÚque, en précisant votre n° de client et le n° de la facture concernée, à envoyer à l'adresse suivante Prixtel - Service Clients - 89515 Veron CedexPensez aux délais d'acheminement et de traitement- Par virement, en précisant votre n° de client et le n° de la facture concernée; pour cela téléchargez l'IBAN/BIC Prixtel à cette adresse de changer vos coordonnées bancaires pour les futurs paiements, rendez-vous sur votre Espace Client dans la rubrique "Infos perso", cliquez sur le lien "Choix du mode de paiement" vous pourrez mettre en place un prélÚvement automatique sur COMPTE bancaire par IBAN/BIC pour les prochaines reste à disposition,Alexia de l'Equipe Prixtel
Stickersavec des millions de designs au choix sur le thÚme Ne Peux Pas Payer, créés et vendus par
La rĂ©siliation du contrat d’assurance pour non-paiement de la prime est prĂ©vue par l’article L 113-3 du code des assurances qui stipule 
A dĂ©faut de paiement d’une prime ou d’une fraction de prime, dans les dix jours de son Ă©chĂ©ance, et indĂ©pendamment du droit pour l’assureur de poursuivre l’exĂ©cution du contrat en justice, la garantie ne peut ĂȘtre suspendue que trente jours aprĂšs la mise en demeure de l’assurĂ©. Au cas oĂč la prime annuelle a Ă©tĂ© fractionnĂ©e, la suspension de la garantie, intervenue en cas de non-paiement d’une des fractions de prime, produit ses effets jusqu’à l’expiration de la pĂ©riode annuelle considĂ©rĂ©e. La prime ou fraction de prime est portable dans tous les cas, aprĂšs la mise en demeure de l’assurĂ©. L’assureur a le droit de rĂ©silier le contrat dix jours aprĂšs l’expiration du dĂ©lai de trente jours mentionnĂ© au deuxiĂšme alinĂ©a du prĂ©sent article. Le contrat non rĂ©siliĂ© reprend pour l’avenir ses effets, Ă  midi le lendemain du jour oĂč ont Ă©tĂ© payĂ©s Ă  l’assureur ou au mandataire dĂ©signĂ© par lui Ă  cet effet, la prime arriĂ©rĂ©e ou, en cas de fractionnement de la prime annuelle, les fractions de prime ayant fait l’objet de la mise en demeure et celles venues Ă  Ă©chĂ©ance pendant la pĂ©riode de suspension ainsi que, Ă©ventuellement, les frais de poursuites et de recouvrement. » 1/ La forme de la rĂ©siliation Cet article comporte une disposition qui est un vĂ©ritable piĂšge pour les assurĂ©s. Comme l’article L 112-2 du code des assurances qui, interprĂ©tĂ© par la cour de cassation, prĂ©voit que l’assurĂ© a la facultĂ© de modifier son contrat par lettre simple ou tĂ©lĂ©copie, l’assureur peut rĂ©silier le contrat d’assurance par lettre recommandĂ©e sans accusĂ© de rĂ©ception. Il arrive trĂšs frĂ©quemment que les assurĂ©s ne reçoivent pas les lettres recommandĂ©es des assureurs, ce qui provoque un nombre considĂ©rable de mauvaises surprises et de procĂšs vouĂ©s Ă  l’échec. Car la rĂšgle est d’une rigueur jamais affaiblie par la cour de cassation. DĂšs lors que l’assureur dĂ©montre l’envoi de la lettre recommandĂ©e, Ă  l’adresse de l’assurĂ© ou de celui qui paye la prime, le contrat sera irrĂ©mĂ©diablement rĂ©siliĂ© dans le dĂ©lai prĂ©vu par l’article L 113-3 du code des assurances avec toutes les consĂ©quences y attachĂ©es. Il suffit que la lettre recommandĂ©e recopie le contenu de l’article, le contrat d’assurance sera suspendu dans le dĂ©lai de 30 jours et rĂ©siliĂ© Ă  l’issue des 10 jours suivant cette Ă©chĂ©ance. Que la prime soit annuelle ou mensuelle la rĂšgle est la mĂȘme, le moindre incident ou retard de paiement permet Ă  l’assureur de rĂ©silier, le contrat. Lorsque la prime est mensuelle, le moindre incident rend l’intĂ©gralitĂ© de la prime annuelle immĂ©diatement exigible, l’assurĂ© ne doit plus seulement payer la mensualitĂ©, mais la prime annuelle. Lorsque l’assurĂ© se plaint de ne pas avoir reçu la lettre recommandĂ©e, et qu’il en rĂ©clame la justification Ă  l’assureur, celui-ci a la fĂącheuse habitude de ne pas rĂ©pondre. Il attend le plus souvent que l’assurĂ© saisisse le juge pour rĂ©pondre et fournir le justificatif de l’envoi, par un bordereau de la Poste comportant des dizaines d’envois le mĂȘme jour, dans lequel se trouve quasiment toujours celui concernant l’assurĂ© qui conteste. Dans toutes les affaires que le cabinet RADIER a eu Ă  connaitre Ă  chaque fois que le juge Ă  Ă©tĂ© saisi, l’assureur a toujours prĂ©sentĂ© le justificatif de l’envoi de la lettre. L’expĂ©rience est trĂšs souvent douloureuse pour l’assurĂ© qui ne rĂ©alise l’évĂšnement qu’à l’occasion d’un sinistre pour dĂ©couvrir qu’il n’est pas assurĂ©. De nombreux plaideurs ont tentĂ© de combattre la rigiditĂ© et l’injustice de ce texte, qui va Ă  l’encontre de tous les usages et du bon sens, mais malheureusement sans aucun succĂšs. Dans une affaire, un plaideur est parvenu Ă  dĂ©montrer que la Poste ne l’avait pas averti qu’il pouvait retirer la lettre recommandĂ©e qu’elle avait conservĂ©e, pourtant la cour de cassation a jugĂ© que l’assureur n’avait pour seule obligation que dĂ©montrer l’envoi de la lettre et non sa rĂ©ception par son destinataire. Par consĂ©quent la rĂ©siliation du contrat d’assurance a Ă©tĂ© confirmĂ©e. MalgrĂ© les tentatives malheureuses pour rĂ©sister Ă  la rigueur et l’injustice de cette rĂšgle aucune modification du texte ou de la position de la cour de cassation pour son interprĂ©tation ne sont en vue. 2/ Les consĂ©quences de la rĂ©siliation En cas de rĂ©siliation en cours de contrat l’assureur doit restituer le prorata de prime courant jusqu’à la fin du contrat. Quand un assurĂ© qui reçoit une mise en demeure avec rĂ©siliation du contrat, paye aprĂšs la rĂ©siliation, soit l’assureur accepte le paiement et le contrat reprend effet, soit l’assureur refuse le paiement et restitue la part de la prime courant jusqu’à la date anniversaire du contrat. Mais les assureurs ont rĂ©pliquĂ© en imposant une clause de leur contrat prĂ©voyant qu’en cas de rĂ©siliation pour non-paiement de la prime, le reliquat de prime pour la pĂ©riode postĂ©rieure Ă  la rĂ©siliation leur resterait acquis Ă  titre de premiers dommages intĂ©rĂȘts. Par consĂ©quent quand l’assurĂ© paye en retard aprĂšs rĂ©siliation, si l’assureur accepte la prime sans rembourser le reliquat, cela ne signifie pas que le contrat a repris tous ses effets, mais que le contrat est bien rĂ©siliĂ© et que l’assureur a conservĂ© toute la prime Ă  titre de dommages intĂ©rĂȘts de la rĂ©siliation. La situation est dĂ©sormais trĂšs claire pour la cour de cassation. Lorsque le contrat d’assurance prĂ©voit, comme c’est presque toujours le cas, qu’en cas de rĂ©siliation pour non-paiement des primes le solde de la prime que l’assureur doit normalement restituer Ă  l’assurĂ© lui restes acquis Ă  titre de dommages intĂ©rĂȘts, l’encaissement aprĂšs rĂ©siliation du contrat ne vaut pas renonciation Ă  cette rĂ©siliation. l’arrĂȘt retient que si M. X
 prĂ©tend que les assureurs auraient renoncĂ© Ă  se prĂ©valoir de la rĂ©siliation des contrats, la renonciation Ă  un droit ne peut rĂ©sulter que d’un acte manifestant sans Ă©quivoque la volontĂ© de renoncer ; que tel n’est pas le cas de l’encaissement que fait sans rĂ©serves l’assureur, aprĂšs la date de rĂ©siliation, d’une prime venue Ă  Ă©chĂ©ance avant, avec la prĂ©cision que la rĂ©siliation ne dispense pas l’assurĂ© du paiement des primes Ă©chues, traduisant, en tout Ă©tat de cause, la volontĂ© de l’assureur de percevoir l’intĂ©gralitĂ© des cotisations impayĂ©es.. »Cass 2Ăšme civ 24 mai 2006 Conclusion, en cas de rĂ©siliation l’assureur a le droit de poursuivre l’assurĂ© pour le paiement de la prime totale, mais conserve le bĂ©nĂ©fice de la rĂ©siliation, de sorte qu’en cas de sinistre le contrat est rĂ©siliĂ© et l’assurĂ© aura tout perdu. En revanche en cas de rĂ©siliation, les assureurs confient les poursuites en paiement de la prime Ă  des sociĂ©tĂ©s de recouvrement trĂšs virulentes qui adressent de nombreuses lettres de menace, mais n’exercent de vraies poursuites que trĂšs rarement, surtout pour de petites sommes.
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Jereconnais les faits et je vais payer, mais qu'on sache que j'étais enfant à l'époque. Si la sanction peut paraßtre trÚs lourde, Samuel Eto'o s'en tire plutÎt bien puisque le
“Bonjour, J’ai reçu un pv pour excĂšs de vitesse. C’était ma conjointe qui conduisait et pas moi propriĂ©taire du vĂ©hicule. Je veux contester sans designer le vrai conducteur mais j’ai des doutes. Comment faire correctement la dĂ©marche sur le site Antai?” Un lecteur de mon blog me pose cette question pertinente. Comme vous le savez, aprĂšs une infraction constatĂ©e par un radar ou un pv Ă  la volĂ©e, l’administration envoie automatiquement l’avis de contravention au titulaire du certificat d’immatriculation. Mais celui-ci, comme notre lecteur, n’était peut-ĂȘtre pas au volant ! Il s’agit d’une situation trĂšs frĂ©quente. En effet, vous avez parfaitement le droit de prĂȘter votre vĂ©hicule Ă  un tiers. Alors doit-on rĂ©ellement dĂ©signer le vĂ©ritable conducteur pour contester? Et sinon, comment contester sans dĂ©signer le vrai conducteur? Et que va-t-il se passer ensuite? On fait le point ! Sommaire Vous n’avez aucune obligation de dĂ©signer le vrai conducteur pour contester Contester sans dĂ©signer le vrai conducteur de A Ă  Z Que se passe-t-il ensuite? 1. Vous n’avez aucune obligation de dĂ©signer le vrai conducteur pour contester Quand vous recevez un avis de contravention Ă  votre domicile, vous pouvez trĂšs bien ne pas vous rappeler avoir commis l’infraction en question. Vous pouvez aussi vous rappeler avoir prĂȘtĂ© votre vĂ©hicule ce jour-lĂ  lire mon article “Je n’étais pas au volant
 mais je reçois un pv !“. Ce peut ĂȘtre Ă  un ami, Ă  votre conjoint, Ă  votre grand-mĂšre c’est d’ailleurs une astuce courante pour sauver son “capital points”
 voir mon article “5 astuces pour ne pas perdre de points!“. Mais, sauf si vous ĂȘtes une personne morale article du code de la route, AUCUN texte ne vous oblige Ă  dĂ©signer le vrai conducteur. Bien sĂ»r vous pouvez choisir de dĂ©signer le vrai conducteur. Mais absolument RIEN ne vous y contraint ! Contrairement Ă  ce que MaĂźtre GOOGLE ou mĂȘme certains reprĂ©sentants des forces de l’ordre peuvent parfois soutenir. Dans ces conditions, vous pouvez tout Ă  fait lĂ©galement contester l’infraction sans dĂ©noncer la personne qui conduisait ce jour lĂ . Pour aller plus loin sur le sujet, je vous invite Ă  lire les articles suivants Suis-je obligĂ© de dĂ©noncer le vrai conducteur? “L’obligation de dĂ©signation du conducteur en 10 points“ La non-dĂ©signation de conducteur ne concerne pas les entrepreneurs individuels Rendez-vous sur le site Antai et cliquez sur l’onglet “dĂ©signation et contestation”. ✅ Vous arrivez sur la page suivante Il vous suffit alors de complĂ©ter le formulaire avec le numĂ©ro de l’avis de contravention, votre nom de famille, la date de l’avis et le numĂ©ro d’immatriculation. Puis de dire au robot qui vous interroge
 que vous n’ĂȘtes pas un robot ! ✅ S’affiche ensuite une page “Votre situation choisissez la situation qui vous concerne”. Bien Ă©videmment, si vous souhaitez contester sans dĂ©signer le vrai conducteur, vous cliquez sur le cas n°3. Sinon utilisez le cas n°2 pour dĂ©noncer le vĂ©ritable conducteur. ✅ S’ouvre alors un menu en 6 Ă©tapes ✅ Dans l’étape n°3 “Informations complĂ©mentaires” vous allez pouvoir exposer les raisons de votre contestation. Indiquez ici que vous contestez l’infraction parce que vous n’étiez pas au volant ce jour lĂ . Si vous Ă©tiez Ă  l’autre bout de la France et que vous pouvez le prouver, mentionnez le et passez Ă  l’étape 4. Vous pouvez aussi contester l’infraction pour un Ă©ventuel “vice de forme”. Sur ce point, lire mon article “Pourquoi il ne faut pas toujours payer l’amende?“ ✅ Dans l’étape 4 le site vous demande de fournir a minima le recto de votre avis de contravention. Si vous avez d’autres justificatifs c’est le moment de les transmettre ! Si par exemple vous pouvez prouver que vous Ă©tiez Ă  l’autre bout du pays au moment de l’infraction, joignez les Ă©lĂ©ments en votre possession facture d’hĂŽtel, attestation de votre employeur, 
. Le site Antai vous permet d’ajouter jusqu’à 10 piĂšces justificatives. Profitez-en ! ✅ Une fois que vous avez ajoutĂ© vos piĂšces justificatives, vous validez votre contestation. Et vous recevrez automatiquement un accusĂ© de rĂ©ception. 3. Que se passe-t-il ensuite? Vous prouvez que vous n’étiez pas au volant Dans une telle situation vous n’encourez ni amende ni retrait de point ! Dans tous les cas l’officier du ministĂšre public va vous rĂ©pondre par Ă©crit. Si vous apportez suffisamment de justificatifs, l’officier du ministĂšre public pourra classer sans suite. S’il ne le fait pas, il faudra maintenir votre contestation et vous expliquer devant le tribunal de police. Seul ou accompagnĂ© de votre avocat en droit routier, vous plaiderez la relaxe. Sachez Ă  ce sujet que votre avocat peut vous reprĂ©senter dĂšs le stade de la contestation de l’amende. Et si vous obtenez gain de cause, vous n’aurez ni amende ni point en moins. Vous ne prouvez pas que vous n’étiez pas au volant Dans une telle situation vous encourez une simple amende mais pas de retrait de point ! En effet, le code de la route prĂ©voit que le titulaire du certificat d’immatriculation est “redevable pĂ©cuniairement de l’amende encourue” article du code de la route. Pour faire simple, sauf Ă  dĂ©noncer le vrai conducteur ou Ă  prouver que vous ne pouvez pas avoir commis l’infraction, vous devez payer l’amende parce que vous ĂȘtes propriĂ©taire du vĂ©hicule. Mais vous ne perdrez pas de points parce que l’officier du ministĂšre public ne peut pas prouver que vous Ă©tiez bien au volant. Attention ! Si vous dĂ©cidez de contester sans dĂ©signer le vrai conducteur, vous “sortez” de la procĂ©dure de l’amende forfaitaire. Le tribunal pourra donc prononcer une amende d’un montant supĂ©rieur Ă  celui prĂ©vu sur l’amende initiale. Si cette amende Ă©tait de 135€, le tribunal pourra trĂšs bien vous condamner Ă  150, 250, 300 euros, 
 Mais il n’y aura pas de perte de points! Lisez aussi mon article “Bornage du tĂ©lĂ©phone mythe ou rĂ©alitĂ© ?“ Dans tous les cas un bon moyen de sauvegarder son “capital points” Au final, que le vĂ©ritable conducteur auteur de l’infraction soit vous ou un tiers, la contestation permet d’éviter toute perte de points. Sous rĂ©serve bien entendu que l’officier du ministĂšre public soit dans l’incapacitĂ© de prouver que vous Ă©tiez au volant au moment des faits. Ce qui exclue naturellement toute infraction avec interception. C’est donc un outil efficace et lĂ©gal! pour Ă©viter de perdre des points et sauvegarder ainsi votre “capital points”. A titre d’exemple, et sans que ce soit une incitation quelconque, cette astuce en droit routier fonctionne Ă  100% pour les les radars feu rouge qui flashent par l’arriĂšre.
Mm582. 128 22 96 200 55 476 330 85 34

condamné a payer mais je ne peux pas