Ilétait une fois la forêt Il était une fois la forêt. Donnez votre avis. Résumé . Sortie en salle le 13 février 2008 Réalisé par Luc Jacquet. Genre Non référencé (Tous publics) Chargement du Sondage Express. merci d'indiquer un nom de film. Titre de l'info *
Hantée par les ogres et les loups dans les légendes, la forêt était en réalité habitée de bûcherons, de charbonniers, de forgerons et de leveurs d’écorces, sans compter les chasseurs, braconniers et simples usagers. Peuplée de jour comme de nuit, théâtre d’une activité intense, la forêt était largement exploitée... Si la Franche-Comté est aujourd’hui couverte à plus de 40 % de résineux et de feuillus en tout genre, on sait de manière certaine que ce taux était largement inférieur entre la fin du Moyen-Âge et le XVIIIe siècle. Ici comme ailleurs, la déforestation devient massive à partir du XVe siècle pour répondre à la fois aux besoins en énergie et en matériau de construction. Il ne faut pas oublier que la région est riche d’une tradition industrielle pluriséculaire, rappelle Paul Delsalle, historien à l’université de Franche-Comté, et que dès le Moyen-Âge, les usines comptent parfois jusqu’à deux ou trois cents ouvriers ! » Les salines disséminées sur tout le territoire en sont des exemples. Avec près de mille ouvriers au XVIIe siècle, celle de Salins-les-Bains 39 est sans conteste la plus importante. Trois mille cinq cents hommes s’emploient à la fournir en bois régulièrement !L’exploitation de la forêt est soumise à des contraintes et des règles précises, cela des siècles avant le rattachement du Comté au royaume de France en 1678 et l’adoption des règles édictées par Colbert en matière de gestion essences étaient réservées à l’industrie, et le droit des habitants se limitait en général au mort bois » comprenant tilleul, noisetier et charme. Il était interdit de se servir en fruitiers, qui, outre les pommiers, poiriers, pruniers et cerisiers qui abondaient en forêt, comptaient aussi le chêne et le hêtre. Les dossiers de justice fourmillent de condamnations comme celle, au XVIe siècle, de ce Bisontin de retour de Chailluz, arrêté porte de Battant avec un chariot chargé de branches de cerisier. Mais est-ce que nous ne surestimons pas la présence de ces variétés du fait qu’elles sont régulièrement citées dans les archives ? », se demande Paul Delsalle, qui voit d’un bon œil l’apport d’autres disciplines pour compléter les sources et vestigesLes travaux d’Aurore Dupin menés en forêt de Chailluz sont de cet acabit. Doctorante au laboratoire Chrono-environnement et rattachée à la MSHE où elle prépare une thèse en archéologie, la jeune chercheuse est spécialiste en anthracologie, l’étude des charbons de bois. Chailluz s’avère pour elle un excellent terrain d’investigation depuis que la technologie LIDAR télédétection par laser aéroporté a révélé les traces d’un millier de charbonnières, dédiées précisément à la fabrication du charbon, dont les résidus permettront d’identifier les essences d’origine. De nombreuses informations nous proviennent de la forêt de Chaux, où l’on perpétue encore la tradition du travail des charbonniers, explique Aurore Dupin. Pour la forêt de Chailluz, il n’existe plus de mémoire, peu de documents et pas de vestiges d’habitations qui toutes étaient construites en matériaux périssables. » Les méthodes scientifiques aident à pallier ce déficit. La susceptibilité magnétique confirme dans un premier temps les relevés du LIDAR. Elle certifie que l’argile du sol a subi des températures extrêmes. Lorsque l’on chauffe fortement de l’argile, les minéraux qui la composent s’organisent d’une manière particulière, guidés par le champ magnétique terrestre. » La datation au carbone 14 atteste ensuite l’existence de la majeure partie des vestiges entre le XVIIe et le XIXe siècles. À partir d’infimes résidus, le microscope optique à réflexion est capable de déterminer l’essence du bois grâce à des caractéristiques anatomiques que le charbon présente sur trois faces. Paul Delsalle aura peut-être dans les mois qui viennent des réponses quant à la présence des fruitiers en forêt sur laquelle il s’interroge…Article paru dans le numéro 254 du journal en direct de septembre-octobre 2014. Articles relatifs
LucyleMaurice. — C'est bien ma belle. Ralentissant le pas, Rita gratifia sa jument d'une caresse sur l'encolure. Après avoir fait galoper Airelle pendant deux heures dans la Forêt des Ombres, le soleil avait commencé à décliner et la fatigue à prendre le dessus. Il
News astuce Genshin Impact, ne ratez pas la quête secondaire "Rencontre dans la forêt" Première partie Publié le 25/08/2022 à 0704 Partager Voici une quête secondaire très intéressante sur Genshin Impact. Elle vous récompensera avec des primo-gemmes, et est en plusieurs parties, assez longues. On vous explique où la trouver et comment la compléter ! On a toujours besoin de primo-gemmes dans Genshin Impact ! Que ce soit pour tenter d'invoquer Tighnari, ou même d'autres personnages, il est bon d'avoir de quoi voir venir. Et cette quête vous rapportera justement des primo-gemmes, mais aussi beaucoup d'informations sur Sumeru. SommaireComment trouver la quête "Rencontre dans la forêt" ?Les enfants de VimeraL'enfant disparuAvant toute chose, il faut bien comprendre que même si cette quête n'est techniquement pas obligatoire, elle va vous apporter énormement de réponses et de précisions sur ce qui vous entoure en Sumeru. On vous conseille donc vivement de la faire, d'autant plus qu'elle rapporte des primo-gemmes. Commencez par aller à l'endroit indiqué sur la carte ci-dessus, à l'est de verrez alors une femme être prise à parti par des champignons oui. Occupez-vous d'eux, et faites sa connaissance. Vous débuterez alors la quête. Les enfants de VimeraReparlez-lui et suivez là. Après une petite discussion, vous arriverez alors devant une zone de siccité. Le principe ici est similaire à celle que vous avez du nettoyer peu de temps après être entré en Sumeru. Collectez les Dendrogranums puis attaquez les branches de la siccité avec une attaque chargée ou un tir visé. Une fois les 3 branches détruites, tuez le champignon qui sortira du miasme de siccité, et détruisez ce dernier en intéragissant avec. Parlez à Rana et allez ensuite au Village de Vimara un peu au la discussion, suivez Rana dans son village, jusqu'à avoir une discussion avec elle et Alphonso. Allez ensuite retrouver les enfants pour leur parler. Vous allez devoir leur raconter une histoire à chacun pour avoir plus d'informations. Parlez ensuite à ensuite le marqueur de quête pour aller nettoyer une autre zone de siccité. Une fois complétée, vous allez devoir enchaîner sur une autre un peu plus loin. Vous allez ensuite suivre Rana, et enchaîner plusieurs activités. En commencant par devoir éliminer un certain nombre d'Epinocrocs devant vous, puis de trouver des branches pour allumer un feu avec l'un de vos personnages Pyro. Après une petite discussion, ce sera la fin de la première partie de cette quête, avec 50 primo-gemmes de plus dans votre poche ! L'enfant disparuAllez à l'endroit indiqué sur votre carte pour la suite de la quête. Vous allez ensuite devoir partir à la recherche d'Iotham. Pour cela, tuez les deux gardes qui vous attaqueront après votre conversation, puis entrez dans la grotte. Une fois à l'intérieur, avancez puis débarrassez-vous des Fatui qui vont vous attaquer. Continuez d'avancer pour finir par arriver dans une zone un peu plus ouverte de la grotte. En contrebas se trouve une zone de siccité, dont Iotham est prisonnier. Nettoyez-là comme toujours en désactivant les 3 branches pour le libérer. Une fois fait, ne vous téléportez surtout pas au Village de Vimara. Restez dans la grotte et allez à l'endroit indiqué par la quête pour continuer celle-ci. Après la discussion, si votre objectif de quête est Ramenez Iotham au village de Vimara, vous pourrez alors vous téléporter directement au village, la quête sera prise en compte. Vous allez ensuite retourner automatiquement à la grotte après avoir parlé à Alphonso au village. Suivez le marqueur de quête, puis les traces après la petite interlude. Vous finirez par sortir de la grotte en suivant les traces, et à tomber sur Rana... enfermée dans une bulle. Vous allez alors faire la connaissance d'Arana. Elle vous expliquera que pour guérir Rana, vous allez devoir aller à Vanarana demander de l'aide. Mais nous verrons ça dans la seconde partie de la quête. Nos guides de Genshin Impact
Résuméde Il était une forêt Pour la première fois, une forêt tropicale va naître sous nos yeux. De la première pousse à l’épanouissement des arbres géants, de la canopée en passant par le développement des liens cachés entre plantes et animaux, ce ne sont pas moins de sept siècles qui vont s’écouler sous nos yeux.
Synopsis Il était une forêt, nous invite à une découverte inédite des forêts tropicales la première fois, une forêt tropicale va naître sous nos yeux. Ce film synthétise une gigantesque somme de savoirs acquise pendant des siècles. De la première pousse de la forêt pionnière au développement des liens entre plantes et animaux, ce ne sont pas moins de sept siècles qui vont s’écouler sous nos yeux. Il était une Forêt propose un voyage inédit en forêt, un voyage dans la vie des années, Luc Jacquet filme la nature et le monde animalier, pour émouvoir et émerveiller les spectateurs à travers des histoires uniques et passionnantes. sa rencontre avec le botaniste Francis Hallé a donné naissance à ce film patrimoine sur les forêts tropicales primaires, un des enjeux écologiques majeurs, véritables poumons verts garants de la vie sur terre. seul le cinéma peut offrir une plongée exceptionnelle dans ce monde totalement sauvage, en parfait équilibre, où chaque organisme - du plus petit au plus grand - joue un rôle essentiel. Offres VOD de Il était une forêt Pas d'offres actuellement. Toutes les séances de Il était une forêt Critiques de Il était une forêt Comme son titre l’indique, Il était une forêt est un conte. On y croise des géants les arbres, des animaux féeriques grenouilles bleues, papillons multicolores, de méchants ogres prédateurs, plantes parasites... Le réalisateur de La Marche de l’empereur s’est allié au spécialiste Francis Hallé pour nous raconter l’histoire séculaire des forêts tropicales et ça marche ! Au fil des vues aériennes et des plongées dans la jungle touffue naît un documentaire passionnant. Les images de synthèse nous font vivre en accéléré la croissance des graines, l’invasion des lianes. On découvre l’invention hallucinante de la nature à travers les mutations de la passiflore ; on comprend la chaîne inouïe des petits insectes aux grands éléphants, en passant par les nuages qui contribue, depuis la nuit des temps, à ce miracle. Doublé d’un message écolo appuyé mais de bon aloi et baigné d’une superbe musique, le pari était osé. Il est réussi. Première par Isabelle Danel Comme son titre l’indique, Il était une forêt est un conte. On y croise des géants les arbres, des animaux féeriques grenouilles bleues, papillons multicolores, de méchants ogres prédateurs, plantes parasites... Le réalisateur de La Marche de l’empereur s’est allié au spécialiste Francis Hallé pour nous raconter l’histoire séculaire des forêts tropicales et ça marche ! Au fil des vues aériennes et des plongées dans la jungle touffue naît un documentaire passionnant. Les images de synthèse nous font vivre en accéléré la croissance des graines, l’invasion des lianes. On découvre l’invention hallucinante de la nature à travers les mutations de la passiflore ; on comprend la chaîne inouïe des petits insectes aux grands éléphants, en passant par les nuages qui contribue, depuis la nuit des temps, à ce miracle. Doublé d’un message écolo appuyé mais de bon aloi et baigné d’une superbe musique, le pari était osé. Il est réussi. Dernières News sur Il était une forêt Casting de Il était une forêt
Arthuret Adèle habitent au bord d'une forêt par ordinaire, peuplée de personnages fabuleux Ils se passionnent pour un livre qui les emmène dans le monde mystérieux des contes, où ils devront retrouver , au fond de la forêt, sans se
Si la Franche-Comté est aujourd’hui couverte à plus de 40 % de résineux et de feuillus en tout genre, on sait de manière certaine que ce taux était largement inférieur entre la fin du Moyen-Âge et le XVIIIe siècle. Ici comme ailleurs, la déforestation devient massive à partir du XVe siècle pour répondre à la fois aux besoins en énergie et en matériau de construction. Il ne faut pas oublier que la région est riche d’une tradition industrielle pluriséculaire, rappelle Paul Delsalle, historien à l’université de Franche-Comté, et que dès le Moyen-Âge, les usines comptent parfois jusqu’à deux ou trois cents ouvriers ! » Les salines disséminées sur tout le territoire en sont des exemples. Avec près de mille ouvriers au XVIIe siècle, celle de Salins-les-Bains 39 est sans conteste la plus importante. Trois mille cinq cents hommes s’emploient à la fournir en bois régulièrement ! L’exploitation de la forêt est soumise à des contraintes et des règles précises, cela des siècles avant le rattachement du Comté au royaume de France en 1678 et l’adoption des règles édictées par Colbert en matière de gestion forestière. Certaines essences étaient réservées à l’industrie, et le droit des habitants se limitait en général au mort bois » comprenant tilleul, noisetier et charme. Il était interdit de se servir en fruitiers, qui, outre les pommiers, poiriers, pruniers et cerisiers qui abondaient en forêt, comptaient aussi le chêne et le hêtre. Les dossiers de justice fourmillent de condamnations comme celle, au XVIe siècle, de ce Bisontin de retour de Chailluz, arrêté porte de Battant avec un chariot chargé de branches de cerisier. Mais est-ce que nous ne surestimons pas la présence de ces variétés du fait qu’elles sont régulièrement citées dans les archives ? », se demande Paul Delsalle, qui voit d’un bon œil l’apport d’autres disciplines pour compléter les sources documentaires. La forêt, objet de convoitises La difficulté à établir de façon précise des limites de propriété à l’intérieur des forêts n’est pas sans générer des tensions qui parfois tournent au pugilat. La forêt de Chailluz n’échappe pas à la règle et les Bisontins du XVIe siècle sont à couteaux tirés avec les habitants de Tallenay, de Chalezeule ou encore de Chatillon-le-Duc dans la défense de leurs lopins communaux. Une réalité d’autant plus criante que l’exploitation de la forêt est capitale à cette époque. Les habitants de Tallenay plantent même du Gamay sur les coteaux sylvestres en 1609. Mais la vigne s’avère difficile à entretenir, le vin de piètre qualité, et devant une production qu’il juge excessive, le Parlement de Dole ordonne l’arrachage des ceps. Le vin de Chailluz ne sera plus conservé que dans des pages d’archives… Céline Bouvresse est enseignante en histoire et travaille régulièrement sur les forêts comtoises au travers de travaux de recherche universitaires. Au XVIe siècle, les limites étaient fixées grâce à des points de repères naturels comme la crête d’une colline, ou d’autres plus discutables car potentiellement changeants le tracé d’un chemin, la pose d’une borne en pierre ou la gravure d’un emblème sur un arbre. Les descriptions n’étaient qu’orales et on apprenait aux enfants à reconnaître les lieux. Il n’est pas rare que les dossiers de justice s’appuient sur les témoignages des anciens du village faisant appel à leurs souvenirs d’enfance pour servir de preuve. » Il faudra attendre le début du XVIIIe siècle pour que les premiers plans apparaissent et limitent les conflits en même temps que les propriétés. Archives et vestiges Charbonnière en forêt de Chaux – Le bois était empilé en meule selon une géométrie étudiée, puis recouvert de terre de façon à garantir une combustion à l’étouffée ». Le feu était surveillé jour et nuit. Une charbonnière atteignait en moyenne six mètres de diamètre et deux mètres de hauteur, et représentait cinq à six stères de bois. Les travaux d’Aurore Dupin menés en forêt de Chailluz sont de cet acabit. Doctorante au laboratoire Chrono-environnement et rattachée à la MSHE où elle prépare une thèse en archéologie, la jeune chercheuse est spécialiste en anthracologie, l’étude des charbons de bois. Chailluz s’avère pour elle un excellent terrain d’investigation depuis que la technologie LIDAR télédétection par laser aéroporté a révélé les traces d’un millier de charbonnières, dédiées précisément à la fabrication du charbon, dont les résidus permettront d’identifier les essences d’origine. De nombreuses informations nous proviennent de la forêt de Chaux, où l’on perpétue encore la tradition du travail des charbonniers, explique Aurore Dupin. Pour la forêt de Chailluz, il n’existe plus de mémoire, peu de documents et pas de vestiges d’habitations qui toutes étaient construites en matériaux périssables. » Les méthodes scientifiques aident à pallier ce déficit. La susceptibilité magnétique confirme dans un premier temps les relevés du LIDAR. Elle certifie que l’argile du sol a subi des températures extrêmes. Lorsque l’on chauffe fortement de l’argile, les minéraux qui la composent s’organisent d’une manière particulière, guidés par le champ magnétique terrestre. » La datation au carbone 14 atteste ensuite l’existence de la majeure partie des vestiges entre le XVIIe et le XIXe siècles. À partir d’infimes résidus, le microscope optique à réflexion est capable de déterminer l’essence du bois grâce à des caractéristiques anatomiques que le charbon présente sur trois faces. Paul Delsalle aura peut-être dans les mois qui viennent des réponses quant à la présence des fruitiers en forêt sur laquelle il s’interroge… Le fauteuil n° 39 à l’Académie Fraîchement élu par l’Académie des sciences, belles lettres et arts de Besançon et de Franche-Comté, Paul Delsalle vient de prendre place dans le Cénacle de la prestigieuse institution, où plane encore le souvenir de Victor Hugo, de Charles Nodier et de Lucien Febvre. Il est l’un des seuls membres universitaires en activité de l’Académie. Historiens, médecins, économistes, juristes, écrivains… depuis 1752, les esprits éclairés se succèdent aux fauteuils pour former une assemblée permanente de quarante membres. L’Académie de Besançon revendique la spécificité d’être en prise avec le concret. N’a-t-elle pas couronné Parmentier lors d’un concours, en 1772, pour la confection de pain à base de pomme de terre afin de lutter contre la famine ? Protectrice de l’université, l’Académie a aussi encouragé la création de l’école d’horlogerie en 1864.
Ilétait fort petit, et quand il vint au monde, il n'était guère plus gros que le pouce, ce qui fit que l'on l'appela le petit Poucet. Ce pauvre enfant était le souffre-douleur de la maison, et on lui donnait toujours le tort. Cependant il était le plus fin, et le plus avisé de tous ses frères, et s'il parlait peu, il écoutait beaucoup.
Le voyage d'Emmanuelle Grundmann et de Cyril Ruoso chez les pygmées Baka, un peuple de chasseurs-cueilleurs au sud-est du Cameroun, pour témoigner d'une... Lire la suite 15,00 € Neuf Définitivement indisponible Le voyage d'Emmanuelle Grundmann et de Cyril Ruoso chez les pygmées Baka, un peuple de chasseurs-cueilleurs au sud-est du Cameroun, pour témoigner d'une culture dont le sort est intimement lié à celui de la forêt, pour comprendre le rôle essentiel de ce milieu à l'échelle de la planète, et pour sensibiliser le lecteur sur la gestion raisonnée des forêts et sur leur sauvegarde. Car " la forêt est mère de la vie. La sauver, c'est nous sauver nous-mêmes ". Date de parution 13/03/2009 Editeur ISBN 978-2-215-05586-0 EAN 9782215055860 Présentation Broché Nb. de pages 69 pages Poids Kg Dimensions 19,5 cm × 26,0 cm × 0,9 cm Synopsis IL ÉTAIT UNE FORÊT propose un voyage inédit en forêt, un voyage dans la vie elle-même. Depuis des années, Luc Jacquet filme la nature et le monde animalier, pour émouvoir et émerveiller les spectateurs à travers des histoires uniques et passionnantes. Sa rencontre avec le botaniste Francis Hallé a donné naissance à ce film 17 juin De nuit Spectacles et œuvres artistiques Description de l'événement La forêt est enchantée. Elle a mille apparences et se métamorphose sans en avoir l’air. La forêt a une histoire. Il y a 10 000 ans, le niveau des mers a monté de 120 mètres, la forêt a été totalement bouleversée et la grande forêt vierge de France a disparu… la rendant aujourd’hui insaisissable. Lecture accompagnée par une contrebasse, à l’écodomaine du Chemin de Traverse. Réservation obligatoire auprès de evenements ou 06 74 23 30 91 Rendez-vous à la maison de la charbonnière, Auberive 52160 Spectacle par la compagnie Préface d’après l’ouvrage de Stéphane Durand 20 000 ans, ou la grande histoire de la nature ». Quand Où Parc national de forêts, Rue Anatole Gabeur, Arc-en-Barrois, France Arc-en-Barrois, 52210 + Google Maps Au sujet de la forêt Les forêts sont la raison d’être du Parc national de forêts . Elles occupent 53% du territoire plus de 120 000 hectares, dont 54 000 hectares en cœur et sont constituées de 89% de feuillus hêtre, chênes, charme et aussi érables, merisier, tilleuls, ... et de 11% de résineux épicéa, pin sylvestre, pin noir, .... Ces forêts sont essentiellement composées d’écosystèmes typiques des forêts de plaine sur plateaux calcaires. Du fait de leur histoire parfois différente, de leur situation, leur exposition, leur altitude, des sols, des micro-climats, de leur maturité, leur gestion passée ou actuelle, leur composition…, elles présentent une grande variété d’aspects et abritent une biodiversité exceptionnelle. Par exemple, on peut dénombrer jusqu’à 15 espèces d’arbres différentes par hectare, ce qui inscrit ces forêts parmi les forêts de plaine les plus diversifiées de France. Son passé De vastes forêts, des sources et des rivières, des paysages préservés, des activités économiques liées étroitement aux ressources locales… Ces particularités sont les atouts majeurs du territoire et fondent son caractère. Et, loin des idées qui pourraient être reçues, la création du Parc national de forêts ne consiste pas en la mise sous cloche de territoires ruraux ! En effet, le territoire préservé du Parc national a été, très tôt et en grande partie, occupé et façonné par l’humain au cœur des forêts de Haute-Marne et de Côte d’Or. Il dispose d’atouts exceptionnels, tant pour ses patrimoines naturels que pour ses richesses et potentialités culturelles, économiques et sociales. Témoin privilégié des liens étroits entre l'humain et la nature depuis le Néolithique, la forêt recèle et protège de nombreux vestiges archéologiques et conserve l'empreinte du travail des moines au Moyen-âge, de l'exploitation agricole, forestière, hydraulique ou métallurgique à différentes époques. Ainsi, l’originalité du Parc national de forêts réside dans la présence forte et durable de l'humain et de ses activités sur l'ensemble de son territoire, centrées sur l’utilisation des ressources naturelles, la forêt et le bois, l’agriculture, la pierre. Les villages, en traversant les siècles, sont relativement préservés et ont conservé leur caractère authentique. On peut encore y lire leurs usages sociaux et économiques premiers, lieux de vie, travail agricole, viticole, métallurgique… Chacun d’entre eux possède également une église, un cimetière, un lavoir, des croix… témoignages discrets de la vie quotidienne d’hier et d’aujourd’hui. La métallurgie laisse, quant à elle, la présence de grandes bâtisses des maîtres de feux et maîtres de forges. Son présent Les forêts, majoritairement feuillues, du 11ème parc national français, sont représentatives des plateaux calcaires du nord-est de la France. Au carrefour des influences climatiques continentale et océanique, subissant des entrées méditerranéennes, elles comptent l’une des plus importantes diversités d’essences d'arbres par hectare de France jusqu’à plus de 15, le hêtre étant la plus courante. Par ailleurs, du fait de leur ancienneté nos forêts abritent des espèces sensibles, ailleurs rares, et qui ont bénéficié ici de leur couvert continu. A leurs côtés, se présentent de nombreux milieux naturels, marais tufeux, pelouses calcaires, prairies, riches en espèces végétales rares comme le Sabot de Vénus. Si les populations de cerfs, chevreuils et sangliers sont très abondantes, on rencontre également des espèces remarquables comme le chat sauvage ou la cigogne noire, emblème du Parc national de forêts. L'eau est également très présente avec 694 kilomètres de cours d'eau, de nombreuses sources et zones humides. Afin de préserver le caractère du Parc national de forêts, une zone représentative des caractéristiques du territoire appelée cœur est soumise à une réglementation particulière qui encadre certaines activités afin de s’assurer de leur compatibilité avec la préservation du patrimoine naturel, culturel et paysager. Le cœur du Parc national de forêts totalise 56 614 ha et s’étend sur 60 communes. Il est à 95% forestier, constitué en grande partie de forêts publiques domaniales ou communales. La création de la Réserve intégrale du Parc national de forêts a été officialisée par décret publié au Journal Officiel du 10 Décembre 2021. D’une superficie de 3087 hectares, notre Réserve intégrale forestière participe à l’objectif de 10% du territoire sous protection forte inscrit dans la stratégie nationale Aires protégées. Elle contribue ainsi à la représentativité des différents enjeux écologiques. La création d’une Réserve intégrale au coeur du Parc national de forêts va permettre l’observation à long terme des changements globaux liés notamment au changement climatique. Ce territoire constituera un espace de référence à l’échelle européenne et internationale qui sera directement géré par le Parc en collaboration étroite avec l’Office national des Forêts, dans le cadre des missions mutualisées établies entre nos deux structures surveillance, connaissance et accueil du public. La réglementation spéciale qui s’applique à une Réserve intégrale, plus restrictive que la réglementation générale du coeur du Parc, est établie pour limiter durablement l’action de l’homme sur les écosystèmes, permettant ici l’observation scientifique de forêts en libre évolution. Son futur Le Parc national de forêts est fondé sur des bases solides qui ont demandé 10 années de préparation. Une démarche complexe quand il s’agit à la fois de protéger et valoriser, sur le long terme, des écosystèmes et des richesses culturelles emblématiques à l’échelle d’un pays, de répondre à de grands enjeux planétaires actuels et de prendre en compte les préoccupations des habitants et des acteurs locaux, fortement concernés par le devenir de leur territoire. Pour atteindre ces objectifs, un projet territorial a été coconstruit et la charte du Parc national de forêts écrite. L’élaboration de cette charte, qui fixe une trajectoire pour les 15 années à venir s’est inscrite dans une démarche de concertation associant les différents acteurs du projet de parc national. Elle permet d’engager un contrat entre le territoire d’une part, représenté par ses habitants, les élus, les associations et les opérateurs économiques, et l'Etat via le Parc national d’autre part. Pour les communes, mais aussi pour les entreprises et les humains qui agissent sur leur territoire, adhérer à ce projet collectif, revient à s'engager dans une démarche de cohérence dans la durée. La libre adhésion de chaque commune à la charte permet au Parc national de se constituer par agrégation des territoires autour du cœur, formant ainsi l'aire d’adhésion » précédemment évoquée. Pour le cœur du Parc national de forêts, elle définit un projet de préservation des patrimoines naturel, culturel et paysager, et précise les modalités d’application de la réglementation qui s’y applique. Pour le cœur et l’aire d’adhésion, elle définit un projet de développement durable, et indique les moyens de les mettre en œuvre. Le Parc national a pour ambition de concilier la préservation de patrimoines exceptionnels et le développement économique, social et culturel de son territoire pour la plus grande fierté de ceux qui contribuent à le faire vivre ! Nom Forêt du Parc National de Forêts Adresse Parc national de forêts, Rue Anatole Gabeur, Arc-en-Barrois, France Partenaires Faire aussi uDQZVK1. 113 199 497 212 108 306 342 340 173

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